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Dialogue politique et affaire de bastonnade des militants/Jean-Pierre Fabre menace : "Si les choses continuent comme ça, on arrête tout"
Publié le mardi 5 decembre 2017  |  Telegramme 228


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
Début d`une nouvelle série de marches pour contester le pouvoir de Faure Gnassingbé en ce mois de novembre 2017
Lomé, le 29 novembre 2017. Devanture de l`hôtel SANCTA MARIA. Début d`une nouvelle série de marches pour contester le pouvoir de Faure Gnassingbé en ce mois de novembre 2017 par la Coalition de 14 partis d`opposition. Le meeting ayant sanctionné cette marche a permis de faire le point de la rencontre Opposition-Alpha CONDE à Paris. Brigitte ADJAMAGBO-JOHNSON de la CDPA.


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Bastonnades, des gaz lacrymogènes balancés ici et là, débandade dans les rues débouchant sur le carrefour du bar 3 K, c’est ce à quoi des militants des 14 partis de l’opposition revenant samedi soir de la marche suivie de merting de l’opposition, ont été confrontés.

Une situation qui a failli même atteindre des leaders politiques, tels Jean-Pierre Fabre, Brigitte Adjamagbo-Johnson, ... qui se sont déplacés pour se rendre compte de ce qui se passait.


"Au cours de la manifestation, nous avons appris qu’il y a un dispositif positionné au 3K pour empêcher, ceux qui allaient remonter. A la fin de la manifestation, nous nous sommes transportés sur les lieux. Et effectivement, on a constaté qu’il y avait un dispositif", indiquait ce matin Jean-Pierre Fabre au micro de nos confrères de RFI.


"Au moment où nous sommes sur les lieux, les militaires étaient déchaînés, ils avaient de gros bâtons en main, ils bastonnaient les gens devant nous. Des militaires, je ne sais pas ce qu’ils faisaient sur les lieux, ils avaient balancé des gaz lacrymogènes un peu partout", a-t-il poursuivi.


C’est un acte condamné avec la dernière rigueur par le Chef de file de l’opposition qui a indiqué aussi que "cet acte vise à saboter tous les efforts faits pour aller au dialogue très important pour la vie de notre pays". Et enfin de menacer, "si les choses continuent comme ça, on arrête tout". Il faisait ainsi allusion aux différents déplacements et rencontres diplomatiques qu’ils ont eus pour voir s’ouvrir le dialogue politique.


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