Les syndicats de l’enseignement primaire et secondaire ont appelé à quatre nouvelles journées de grève à partir de mardi. Mouvement dont on a du mal à saisir les véritables motivations.
Les syndicalistes expliquent depuis des mois qu’ils n’ont pas reçu la copie du statut particulier de leur profession adopté lors de discussions avec le ministère de tutelle. A la Primature, on indique que les enseignants ont bien pu prendre connaissance du texte.
Et encore une fois ce sont les élèves qui font les frais de ce bras de fer.
La multiplication des arrêts de travail depuis la rentrée a fortement perturbé le premier trimestre.