Le Togo devra organiser en 2018, des élections législatives et locales. La participation des femmes à ces joutes préoccupe au haut niveau la Fondation Hanns Seidel qui organise à leur endroit, des formations.
« Si on n’est pas aguerrie en politique on ne peut pas aller en compétition avec les hommes qui sont déjà dans ce travail au quotidien », confie la coordinatrice de la Fondation Hanns Seidel, Franck Aridja.
Selon elle, certaines parmi ces femmes et jeunes filles membres de partis politiques sont bien aguerries pour être dans cette compétition lors des prochaines joutes électorales.
Vendredi 1er décembre 2017, ces femmes se sont une fois encore retrouvées dans la capitale togolaise pour valider un rapport provisoire de l’évaluation de l’académie de formation en leadership politique démarré depuis 2013 par le Groupe de réflexion femme démocratie et développement (GF2D) et son partenaire allemand.
La secrétaire générale adjointe du Groupe de réflexion femme démocratie et développement (GF2D) Assionvi Woekedje Tomety s’est félicitée que ces quatre années aient véritablement permis à mettre à la disposition des femmes et jeunes filles, des connaissances et outils pertinents leur permettant de participer efficacement à la gestion de la chose publique et politique.
Du côté du ministère de la promotion de la femme, on estime que la participation de la femme à la chose publique fait partie des préoccupations majeures du gouvernement. Et ceci, soutient-on, s’exprime aussi par l’adhésion à l’agenda 2063 de l’Union africaine où le Togo reconnait la place primordiale de la femme dans le processus de développement durable.... suite de l'article sur Autre presse