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De quel côté étaient les manquements ?
Publié le mercredi 20 decembre 2017  |  republicoftogo


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Emmanuel Atcha
Ouverture des travaux de la Consultation Afrique-Chine-USA pour la Paix au Togo
Lomé, le 27 juillet 2016. Hôtel Sarakawa. Pour la première fois, les travaux de la Consultation Afrique-Chine-Etats-Unis pour la Paix (une initiative du Centre Carter regroupant des diplomates et experts africains, chinois et américains autour des questions de paix et de sécurité) se tiennent en Afrique pour deux jours. Le lancement de ces discussions à Lomé a été présidé par Pr Robert Dussey, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et de l’Intégration africaine du Togo. "La sécurité maritime et l’économie bleue dans le Golfe de Guinée" en prévision du Sommet extraordinaire sur la sécurité maritime de l’Union africaine (UA) à Lomé, à partir du 15 octobre 2016, et "La promotion de la paix dans le Sahel" sont les thèmes au menu de l`étape togolaise de cette Consultation. Mohamed Ibn Chambas (Représentant personnel du Secrétaire général des NU pour l’Afrique de l’ouest et le Sahel), Jordan Ryan (Vice-président des programmes de paix/Centre Carter), de même que les diplomates Liu Yuxi (Chine), Christopher Sander (Allemagne) et David Gilmour (USA) ont assisté au lancement de ces travaux.


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Le Togo a été condamné à payer au Groupe hôtelier Accor une somme de 4 millions d’euros pour ‘manquements à ses obligations contractuelles’, indique mercredi Focus Infos. Un jugement prononcée par la Chambre de commerce internationale de Paris le 11 décembre dernier.

Gestionnaire de l’hôtel Sarakawa à Lomé, l’opérateur avait été expulsé en 2014 et avait dès lors saisi la justice.

L’affaire est complexe. Si l’on peut contester la manière dont les autorités togolaises ont mis fin brutalement au contrat d’exploitation, on doit faire également remarquer qu’Accor était loin d’avoir rempli ses obligations.

Pendant des années, l’hôtel a été ultra-profitable au Groupe français affichant des taux d’occupation de près de 90%.

Toutefois, le gestionnaire – en dépit des demandes répétées du ministère du Tourisme – s’est toujours refusé à moderniser l’établissement affirmant attendre un renouvellement de la concession. Au grand dam des clients qui ont du supporter pendant des années des équipements vétustes, une climatisation défaillante et des parties communes délabrées. Tout cela au prix fort.

La Chambre de commerce internationale s’est basée sur des principes de droit pour rendre son jugement. Dans les faits, Accor est loin d’avoir été exemplaire.
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