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Togo/ Le gouvernement demande de l’aide à l’opposition pour retrouver les armes disparues
Publié le lundi 8 janvier 2018  |  icilome


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Dodo Abalo
Foule monstre à une manifestation de plusieurs partis d`opposition du Togo pour dénoncer la gouvernance sous Faure GNASSINGBE
Lomé, le 06 septembre 2017. Principales artères de la capitale togolaise. Une large coalition de l`opposition togolaise bat le pavé dans la capitale comme dans plusieurs autres villes du pays pour exiger le "retour à la Constitution de 1992, le vote de la diaspora et l’élargissement des opposants condamnés après les violences des 19 et 20 août 2017 ayant émaillé une manifestation du parti PNP (Parti national panafricain)". Une foule monstre participe à cette mobilisation.


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A en croire le gouvernement, deux armes à feu ne sont pas encore retrouvées. Elles auraient été prises par les militants de l’opposition lors des échauffourées entre manifestants, forces de l’ordre et militaires en septembre dernier à Sokodé et Bafilo.


L’interdiction des manifestations dans ces villes serait donc liée à la circulation de ces armes. Et donc, le gouvernement demande à l’opposition de l’aider à retrouver les armes en question.

« Le gouvernement dit qu'il y a encore deux armes en circulation et soutient que, tant que ces deux armes ne sont pas retrouvées, il serait dangereux de tenir toute manifestation, Même le passage des responsables de la coalition dans ces villes (Ndlr, Sokodé, Bafilo et Mango) n’est pas sécurisant », a indiqué Antoine Folly, président de UDS-Togo, membre de la Coalition.

Et d’ajouter : « Et le gouvernement nous demande de les aider à retrouver les armes ». Et pourtant, la commission d’enquête requise par la Coalition de l’opposition n’est, jusqu’à présent, pas encore mise sur pied.

« Personne n'a apporté aucune preuve de la disparition de ces armes. Il va de même sur les allégations de militaires égorgés, décapités. C'est Pourquoi depuis le début l'opposition à requis une commission d'enquête indépendante et internationale. Le gouvernement y a adhéré, mais n'y fait rien », a souligné Antoine Folly.
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