Dans une gouvernance cosmétique basée sur l’élevage et la surveillance du bétail électoral, les décideurs n’en ont cure des besoins et du bien-être du peuple. Comment mener des acrobaties pour se garantir la sympathie de la fameuse communauté internationale?
Ce n’est qu’ainsi qu’on peut pérenniser son argent de poche, ces interminables mécanismes de financements internationaux dont on ne constate l’efficacité que dans les rapports et les discours.
C’est ainsi qu’au Togo, dans le secteur de l’environnement, l’administration de Faure Gnassingbé ne veut pas être isolée en ce qui concerne certaines réglementations. Après le coup de diversion sur les sachets plastiques non biodégradables, place à un décret laconique sur les vieux véhicules importés.
Mercredi 10 janvier, en Conseil de ministres, Faure Gnassingbé et son gouvernement adoptent un décret qui, selon les termes du communiqué, «permettra de limiter à l’avenir l’âge des véhicules d’occasion importés au Togo. En adoptant ce décret, le conseil entend assainir le parc automobile togolais et surtout sauvegarder la vie des citoyens, victimes de l’insécurité routière liée entre autres à l’état délabré de ces véhicules d’occasion». ... suite de l'article sur Autre presse