Selon le Mouvement Martin Luther King (MMLK), les migrants togolais en Libye sont abandonnés et laissés à leur triste sort.
Certains, pour éviter de demeurer dans ces conditions inhumaines, auraient dû se déclarer citoyens d'autres pays afin de bénéficier du droit de rapatriement, indique l’association de défense des droits de l’homme dans un communiqué.
Et pour cause, souligne l’association présidée par le pasteur Komi Edoh, sauf le Togo, les pays de l’Afrique subsaharienne dont les fils et filles se trouvent dans ce pays où ils sont perçus comme esclaves et vendus aux enchères, ont procédé à leur rapatriement, de concert avec l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
C’est une situation grave, écrit le MMLK qui appelle le gouvernement à faire diligence pour le retour de ces Togolais.... suite de l'article sur Autre presse