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L’agrobusiness sera à l’avant-garde du développement
Publié le samedi 20 janvier 2018  |  Republic of Togo


© aLome.com par Marc-Innocent
CIEA 2017: la deuxième édition de la conférence ouverte par le Président Ouattara
Abidjan le 28 Mars 2017. La 2éme édition de la Conférence Internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA) s’est ouverte à Abidjan en présence de plusieurs personnalités parmi lesquelles les Chefs d’Etat du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf, Sénégal, Macky Sall, de la Guinée Alpha Condé, de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, Helen Clark, Administrateur du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et Akinwumi Adesina (photo), président de la Banque Africaine de Développement (BAD).


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48h après la publication du rapport annuel de la Banque africaine de développement (BAD), son président Akinwumi Adesina a été reçu par Faure Gnassingbé. Les deux hommes ont notamment évoqué le volet agricole de la coopération.

La BAD a approuvé une stratégie de transformation de l’agriculture africaine pour un secteur agroalimentaire compétitif et inclusif, à même de créer de la richesse, d’améliorer les conditions de vie de ses populations et de sauvegarder l’environnement.

La transformation de l’agriculture fondée sur un développement à grande échelle en tant qu’activité commerciale à forte valeur ajoutée est l’option retenue par le Togo qui entend implanter des agropoles à travers le pays. Il peut ainsi espérer recevoir des prêts et des subventions de la BAD.

Pour le chef de l’Etat togolais, la diversification économique est la clé pour résoudre quantité des difficultés auxquelles se heurte le pays. Il faut mettre un effort particulier en direction des secteurs à forte intensité de main-d'œuvre, notamment dans les zones rurales, où réside 70 % de la population.

Egalement au menu des entretiens, la politique d’infrastructures encouragée par la Banque et que le gouvernement togolais entend poursuivre.

Enfin, les discussions ont porté sur les conclusions du dernier rapport de l’institution.

Les analystes prévoient une la croissance de 5% en 2018 et de 5,3 % en 2019, à condition que les précipitations restent favorables.

Et justement, la Banque met en garde. La poursuite de la crise politique qui ralentit l’activité économique depuis août 2017 pourrait entraîner une révision à la baisse de la croissance cette année et en 2019. Les politiciens sont prévenus.

Le président Faure Gnassingbé avait à ses côtés le ministre de l’Economie et des Finances Sani Yaya et la ministre du Développement à la base, Victoire Dogbé-Tomegah.
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