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Bras de fer entre certains dirigeants africains et le pouvoir de Lomé/Dialogue politique: Vers un gouffre ?
Publié le mardi 23 janvier 2018  |  Togo Times


© Présidence de CI
Cérémonie d`ouverture du 51ème Sommet ordinaire de la Conférence des Chefs d`Etat et de Gouvernement de la CEDEAO
Dimanche 04 juin 2017. Monrovia (Libéria). La cérémonie d`ouverture du 51ème Sommet ordinaire de la Conférence des Chefs d`Etat et de Gouvernement de la CEDEAO en présence du Président de la République, S.E.M. Alassane Ouattara.


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La crise togolaise commence à diviser des dirigeants membres de la Cédeao ou non. Des points de vue jugés en faveur de l’opposition togolaise ne sont plus partagés par l’entourage du président togolais.

Certains chefs d’états africains membres de la Cédeao ou non, ne sont pas du tout content du pouvoir de Lomé. Malgré leurs exhortations à l’endroit du pouvoir d’ouvrir le pays vers la démocratie, rien n’a été fait. Pour eux, le gouvernement togolais doit écouter son peuple au lieu de le tourner en bourrique. Ceci pour éviter un lendemain incertain au pays aux conséquences incalculables. C’est pour cette raison d’ailleurs que, le mini-sommet qui doit se consacrer à la crise togolaise au Libéria à céder place aux échanges individuels.

Alpha Condé avait proposé l’ouverture du dialogue entre les 23 et le 26 janvier 2018. Une proposition qui a fait jubiler l’opposition togolaise de joie une fois de retour du périple Guinée-Accra. C’était les 15 et 16 janvier derniers. Mais, la joie n’est que de courte durée. L’espoir suscité commence à céder place à un travail de Sisyphe, l’éternel recommencement.

On en était là quand, des informations font état d’un mini-sommet qui doit se consacrer à la crise togolaise le 22 janvier dernier lors de la cérémonie de passation donnant le plein pouvoir au footballeur, Georges Weah. Une cérémonie qui a mobilisé plusieurs chefs d’états dont le président en exercice de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest (Cédeao) Faure Gnassingbé. Le mini-sommet a-t-il eu lieu?

D’après nos informations, il n’y avait pas eu de mini-sommet au Libéria. Mais en lieu et place de mini-sommet, Faure Gnassingbé a eu des échanges individuels avec certains dirigeants. Les échanges individuels n’ont rien donné. Et pour cause. Le pouvoir de Lomé n’est pas prêt pas à aborder certaines questions notamment l’ouverture du dialogue qui doit amener les acteurs politiques du pays à s’asseoir autour d’une table.


Et certains dirigeants qui partagent le bien-fondé de la lutte de l’opposition togolaise, n’ont pas pu échanger avec M Faure Gnassingbé. Ils mettent en avant leur calendrier trop chargé.

Il s’agit explique de sources bien renseignées, une façon de boycotter la rencontre avec la partie togolaise. Pour ses dirigeants, il faut que le pouvoir de Lomé reconnaisse une chose, la nécessité de tout faire pour que, l’alternance soit traduite dans les faits et non, un semblant de replâtrage politique.

D’ailleurs, le tweet de Faure Gnassingbé après avoir reçu le président du Faso en dit long. Car, une analyse minutieuse du Tweet laisse voir que, les discussions n’ont pas satisfaits un camp. Pour celui qui a l’habitude de suivre le tweet présidentiel togolais, celui-ci donne toujours le sujet de la rencontre et un peu plus. Mais, tel n’est pas le cas au Libéria avec M.Kaboré.

A quand le vrai dialogue ? Difficile de le savoir.
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Force des slogans durant la marche du 13 janvier 2018 de la coalition de l`opposition
Publié le: 17/1/2018  | 


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