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Cinq (5) mois de crise politique au Togo : Les secteurs formels et informels en pâtissent sérieusement !
Publié le jeudi 25 janvier 2018  |  Togo Top Infos


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
Marche en noir des femmes de la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise
Lomé, le 20 janvier 2018. Marche en noir des femmes de la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise. Partie de trois points, cette marche a chuté à Casablanca devant le "Grand collège du Plateau" où s’est tenu un meeting d’information. Les manifestantes ont menacé de faire usage de leur «ultime arme contre les hommes» si les choses continuent à piétiner. Elles étaient des milliers à répondre à l’appel de leurs leaders, toutes de noir vêtues. Les hommes étaient là pour soutenir et assurer l’encadrement de la manifestation. Ce fut une occasion pour la coordinatrice de la coalition, Mme Brigitte ADJAMAGBO-JOHNSON, de faire le point sur la tournée de la délégation de la Coalition en Guinée et au Ghana pour rencontrer les deux médiateurs dans la crise togolaise. Isabelle AMEGANVI


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Selon les estimations, la crise sociopolitique dans laquelle est plongé le Togo depuis le mois d’août 2017 aurait fait perdre à l’économie du pays entre 80 et 100 milliards. D’autres observateurs n’hésitent d’ailleurs pas à mettre la barre plus haute. Si l’on considère la santé économique du pays, cela représente sans nul doute une grosse perte et un gouffre qui sera difficile à combler une fois la crise terminée.

Depuis l’organisation le 19 août 2017 des manifestations synchronisées au Togo et à la diaspora par le Parti National Panafricain (PNP), l’actualité sociopolitique est toujours mouvementée. Des manifestations de rue organisées à une fréquence quasi-hebdomadaire, le lancement à deux reprises d’un mot d’ordre de « Togo mort » ainsi que les pertes en vies humaines et autres dégâts matériels découlant de ces situations ont eu pour impact de dresser sur le pays tout entier un climat de morosité et de tension palpable qui ne favorise pas le développement des affaires économiques.


Dans cette situation, les petits commerçants et les acteurs du secteur informel se plaignent des répercussions de la crise politique. En effet, les jours où les manifestations de rue sont organisées, les activités commerciales connaissent également un ralentissement.


«Je ne suis pas contre le changement pour lequel lutte l’opposition. Mais, les marches nous empêchent de vaquer tranquillement à nos occupations. Je parle de nous qui vivons au jour le jour sur la base des recettes que nous faisons au marché », confie une revendeuse de friperie au Grand marché d’Adawlato. Et une autre de renchérir, « si ces marches vont donner un résultat positif, il n’y a pas de problème. Mais, si nous allons subir et après les marches vont fatiguer les gens puis la situation ne va pas changer, la galère va s’empirer encore ».
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Le slogan "FAURE MUST GO" de nouveau brandi en 2018 par les militants de l’opposition
Publié le: 16/1/2018  | 


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