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Pour le FMI, 2018 devra être l’année de la chasse aux déficits dans l’UEMOA
Publié le vendredi 26 janvier 2018  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
Siège national de la BCEAO au Togo
Lomé, le 15 janvier 2018. Siège national de la BCEAO au Togo.


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Pour consolider leur croissance et passer sous la barre des 3 % de déficit budgétaire en 2019, les adhérents de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) devront mieux mobiliser leurs ressources intérieures et prioriser leurs dépenses dès 2018, prévient le FMI.

Une équipe du FMI a mené, entre le 11 et le 24 janvier, une mission auprès des différentes instances de l’UEMOA au Burkina Faso, au Togo, en Côte d’Ivoire et au Sénégal. Le but : faire le point sur les politiques budgétaires des pays membres.

«La croissance économique régionale a dépassé 6 % en 2017 pour la sixième année consécutive, en dépit de chocs négatifs des termes de l’échange et de préoccupations sécuritaires», a commenté Dhaneshwar Ghura, qui conduisait la délégation de l’institution financière internationale. Ce dernier s’est également réjoui d’une « inflation restée faible, notamment en raison d’une bonne production agricole».

Quant aux déficits budgétaires, ils sont restés stables, autour de 4,6 % du PIB. L’envoyé spécial du FMI rappelle que leur réduction sous la barre des 3 % en 2019 est «cruciale pour assurer la stabilité macroéconomique et soutenir la croissance». Pour lui, l’année 2018 sera «une année critique pour assurer la convergence vers des déficits budgétaires soutenables».


Des perspectives de croissance «sujettes à des risques»

Pour atteindre cet objectif, l’institution financière internationale préconise des réformes de politique fiscale « pour réduire les déficits budgétaires sans compromettre l’investissement en infrastructures publiques et les dépenses sociales et de sécurité ».
... suite de l'article sur Jeune Afrique


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