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Suite et fin du sommet de l’Union africaine à Addis Abeba
Publié le lundi 29 janvier 2018  |  DW Afrique


© Autre presse par PRESIDENCE DE LA COTE D`IVOIRE
Cérémonie d`ouverture du 30e Sommet ordinaire de l`Union Africaine
Addis-Abeba, le dimanche 28 janvier 2018. Cérémonie d`ouverture du 30e Sommet ordinaire de l`Union Africaine.


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Trois grands thèmes au programme du sommet qui s'est ouvert hier : le financement de l'institution UA, la crise migratoire et la résolution des conflits de la région.


En présence du Secrétaire général de l'ONU, le président sortant de l'Union africaine, le Guinéen Alpha Condé, s'est interrogé sur l'efficacité de l'action des Casques bleus dans le continent, plaidant en faveur d'une résolution par les Africains des problèmes du continent.

A quoi servent les Casques bleus?

Alpha Condé est allé jusqu'à estimer "que les Casques bleus n'ont pas eu un rôle efficient", prenant pour exemple les "plus de 20.000 Casques bleus au Congo (RDC) depuis des années" qui ne "donne[nt] pas de résultats".


L'argument d'Alpha Condé est de faire valoir que "les Bangladeshis et les Indonésiens" ne veulent pas venir "mourir en Afrique". Et de poursuivre: "pour mourir en Afrique il faut être patriote et aimer son pays donc seuls les Africains peuvent aujourd'hui se battre et mourir parce qu'ils défendent leur patrie. C'est pourquoi l'exemple du G5 Sahel doit être encouragé.”

Moussa Faki dénonce la cruauté au Soudan du Sud

Pour sa part le président de la Commission de l'Union africaine, le Tchadien Moussa Faki Mahamat, a appelé à la résolution rapide des conflits, en citant notamment le Soudan du Sud, la RDC, et le Burundi :

"Au Soudan du Sud, comment ne pas redire notre incompréhension face à la violence insensée que les belligérants infligent, avec une cruauté indescriptible, à une population qui n'a que trop souffert."

Selon le président de la Commission, "le moment est venu d'imposer des sanctions à ceux qui font obstacle à la paix".

Quant "au Burundi, les parties doivent privilégier le dialogue, seule voie de sortie de crise."
... suite de l'article sur Autre presse


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