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Sortie de crise: André Kangni Afanou appelle les Togolais à l’union pour que s’ouvrent des discussions franches
Publié le mercredi 31 janvier 2018  |  Republique togolaise


© aLome.com par Parfait
Publication d`un Rapport du CACIT et de la PCJV
Lomé, le 15 juillet 2015. EDA OBA HOTEL. Publication du Rapport de la Mission d’observation du CACIT (Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo) et de la Plateforme Citoyenne Justice et Vérité (PCJV). Ce rapport porte sur les violences et violations des droits de l’Homme au cours de la présidentielle du 25 avril 2015 au Togo.


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Le défenseur des droits de l’homme André Kangni Afanou pour une sortie de crise au Togo appelle le peuple togolais à «l’union». Pour l’ancien directeur exécutif du Collectif des Associations contre l’Impunité au Togo (CACIT), seule l’union des fils et filles du Togo peut sauver la situation.

C’est le rêve d’André Kangni Afanou de voir les fils et filles du Togo dire « oui » à l’union pour une sortie de crise rapide. «Dans la sphère familiale, les enfants évoluent mieux quand les parents, les oncles, tantes, neveux et nièces s’entendent bien entre eux et sont unis.

Dans le secteur privé, les entreprises mêmes les plus géantes continuent de se mettre ensemble pour être plus fortes et plus influentes. Dans le domaine du sport, une équipe ne gagne un trophée que lorsque, non seulement les joueurs mais aussi l’entraîneur, le staff technique et toutes les instances dirigeantes, sont unies», a-t-il expliqué.

Pour lui, le vivre ensemble et la cohésion doivent prévaloir sur tout. Il préconise que le pouvoir et l’opposition trouvent rapidement un cadre idéal pour poser «les bases d’une vraie réconciliation et d’une vraie union entre les fils et filles du Togo». Ainsi, il rejoint les uns et les autres qui ont au début de la crise appelé les togolais au dialogue.

«Rêvons d’un dialogue qui pose les bases d’institutions véritablement indépendantes et dont les membres sont nommés, non pas en fonction de leur militantisme mais en fonction de leurs crédibilité et de leur capacités intrinsèques», a-t-il proposé. Et donc, aller au dialogue est une obligation.

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