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Prendre l’avion d’un pays africain vers un autre, bientôt un jeu d’enfant?
Publié le vendredi 2 fevrier 2018  |  DW Afrique


© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Inauguration de la nouvelle aérogare de Lomé
Lomé, le 25 avril 2016. Aéroport AIGE. Faure GNASSINGBE inaugure la nouvelle aérogare, en présence de plusieurs opérateurs économiques et officiels divers.


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L'accord pour un espace aérien unique, entériné entre 23 Etats lors du dernier sommet de l'Union africaine, devrait faciliter les déplacements en avion sur le continent.


Un vol entre la capitale nigérienne Niamey et Bamako, au Mali voisin, passe dans le cas le plus favorable par la Côte d'Ivoire. Mais il peut aussi y avoir des escales au Burkina Faso et au Togo.

Si vous voulez voyager de la capitale guinéenne Conakry à la métropole de Lagos, au Nigeria, vous devrez peut-être passer par Nouakchott, en Mauritanie, voire même Paris ou Amsterdam.

Istanbul ou Dubaï apparaissent aussi souvent dans le plan de voyage sur les vols transafricains. Pourquoi cela? Parce que les compagnies aériennes sont étrangères comme par exemple Turkish Airlines, Emirates ou bien Air France.

Wosenyeleh Hunegnaw est directeur général de l'Autorité de l'aviation civile éthiopienne. Il rappelle que le marché africain est dominé par les compagnies aériennes étrangères: "Le ratio des parts de marché est de 20 à 80. Cela signifie que la part de marché des compagnies non-africaines est actuellement de 80% et que ces parts seront proches ou égales à l'avenir."


Un optimisme justifié par un nouvel accord scellé cette semaine entre 23 pays africains, lors du dernier sommet de l'Union africaine.

Point clé de l'accord: les compagnies aériennes des pays de l'Union devraient avoir à l'avenir libre accès aux aéroports des autres Etats membres. Cela signifie également moins de bureaucratie et des coûts moins élevés pour les vols intra-africains.


Il existe déjà un certain nombre d'accords bilatéraux sur les connexions directes. Mais les accords précédents - comme celui de Yamoussoukro en 1999 - n'ont jamais vraiment été appliqués. Trop de pays avaient intérêt à protéger leurs entreprises publiques contre la concurrence. En outre, les recettes tirées des droits de décollage et d'atterrissage constituent une subvention bienvenue pour les budgets des Etats.


Des tarifs réduits

Si les prévisions de l'étude de la société de conseil Inter Vistas s'avèrent exactes, les prix des billets diminueront de plus d'un tiers en raison de la nouvelle concurrence.
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