A défaut de lui sauver la vie, un hôpital bien équipé au Togo en 2005 aurait évité à Gnassingbé Eyadéma de mourir dans les airs à des milliers de kilomètres du pays qu’il a tant aimé et gouverné d’une main de fer pendant 38 ans.
Cet homme qui a tant marqué la vie politique du Togo, fait parlé de lui en Afrique et dans le monde, conquis tous les grands titres de médiateur sans oublier celui de dictateur, s’en est allé doucement sans crier gare, en tout cas, pas chez le Togolais lambda qui apprend la nouvelle seulement sur les écrans de la télévision nationale, la nouvelle de la «catastrophe nationale» par la voix de Kofi Sama, premier ministre à l’époque. ... suite de l'article sur Autre presse