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Le ’deux poids deux mesures’ de la CEDEAO dénoncée par l’opposition bissau-guinéenne
Publié le jeudi 8 fevrier 2018  |  GLOBAL ACTU


© Autre presse par PRESIDENCE DU SENEGAL
Sommet extraordinaire des Chefs d`Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, en marge du 30e Sommet ordinaire des Chefs d`Etat et de Gouvernement de l`Union Africaine
Addis-Abeba, samedi 27 janvier 2018. Sommet extraordinaire des Chefs d`Etat et de Gouvernement de la CEDEAO auquel a pris part le Président Alassane OUATTARA, en marge du 30e Sommet ordinaire des Chefs d`Etat et de Gouvernement de l`Union Africaine. Faure Gnassingbe et Marcel de Souza.


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Ça jase en Guinée Bissau après les sanctions prononcées par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) pour non-respect de l’accord conclu à Conakry en octobre 2016 pour une sortie de la crise politique dans ce pays.

Les sanctions prononcées la semaine dernière par la communauté présidée par le président togolais, Faure Gnassingbé, sont tombées sur 19 personnalités, dont 14 députés et 5 proches du président Jose Mario Vaz.

«Les sanctions ne concernent qu'une seule partie. Quand il y a diverses parties qui ont souscrit à l'accord de Conakry, arrivé à la sanction, une seule partie est concernée. C'est injuste! Nous ne sommes pas d'accord avec la sanction », a déclaré Victor Pereira, porte-parole du Parti de la rénovation sociale (PRS) sur RFI ce jeudi.

Ce que reproche concrètement le PRS, principale force politique de l’opposition bissau-guinéenne aux sanctions de la CEDEAO, c’est qu’en réalité, aucun membre du Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), parti au pouvoir, n’est touché par ces sanctions.

Et pourtant, on se rappelle que la crise avait commencé en août 2015 à cause de la destitution par le président Vaz de son Premier ministre, Domingos Simoes Pereira, tous deux membres du PAIGC.
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