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Togo: l’ONU, l’UE et des ambassades "saluent" la tenue prochaine d’un dialogue
Publié le vendredi 9 fevrier 2018  |  AFP


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Commémoration officielle au Togo de la journée de l’unité allemande
Lomé, le 03 octobre 2016. Jardins de l`Ambassade d`Allemagne au Togo. Le diplomate Christoph SANDER, devant un parterre d`officiels togolais, a vanté le renouveau dans la coopération Lomé-Berlin en 2016, tout en conviant le Togo à améliorer dans les mois et années à venir ses efforts en matière de gouvernance politique et économique.


Fichier joint:
Annonce de l`ouverture officielle du dialogue intertogolais le 15 février 2018
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Lomé, 9 fév 2018 (AFP) - L’ONU, l’Union européenne et les ambassades d’Allemagne, de France et des États-Unis au Togo ont "salué" vendredi la tenue d’un dialogue le 15 février au Togo, fortement secoué par une crise depuis plus de cinq mois.


Dans un communiqué commun, elles "soutiennent le processus ainsi engagé" dans ce petit pays d’Afrique de l’Ouest, "et qui a été rendu possible par l’implication résolue des autorités du Ghana et de Guinée".

L’ONU, l’UE et ces trois ambassades "encouragent les acteurs politiques togolais à travailler de bonne foi pour aboutir à un consensus sur les réformes institutionnelles et constitutionnelles, ainsi qu’à se mobiliser ensemble pour les mettre en oeuvre".


Le président du Togo, Faure Gnassingbé, actuellement à la tête de la CEDEAO (Communauté Economique des Etats d’Afrique de l’Ouest), fait face depuis cinq mois à une très forte contestation populaire.


Quasiment chaque semaine, des marches pour demander sa démission et la limitation à deux du nombre de mandats présidentiels rassemblent des milliers, voire des dizaines de milliers de personnes.


Faure Gnassingbé a succédé en 2005 à son père, le général Gnassingbé
Eyadèma, qui avait dirigé sans partage le pays pendant 38 ans.


Des représentants guinéens et ghanéens, pays médiateurs dans la crise, ont annoncé la semaine dernière que le dialogue entre l’opposition togolaise et le pouvoir s’ouvrirait le 15 février à Lomé, un principe accepté par les deux parties.


Mais l’opposition exige toujours, avant toute négociation, des "mesures d’apaisement", notamment le retrait des forces de sécurité dans le Nord et la libération de militants arrêtés pendant les marches et lors de l’incendie des marchés de Kara et de Lomé en janvier 2013.


"Ces mesures d’apaisement ne sont pas négociables. Elles doivent être
prises avant le début des discussions proprement dites", avait déclaré le 3 février à l’AFP Jean-Pierre Fabre, chef de file de l’opposition.



ek/sd




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