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Conforté par sa précédente sortie réussie, le Togo repart sur le marché régional de la dette pour lever 20 milliards de FCFA
Publié le mardi 13 fevrier 2018  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
5ème séance plénière de la 2ème session ordinaire de l’Assemblée nationale consacrée au vote de la loi de finances rectificative, gestion 2017
Lomé, le 21 novembre 2017. La 5ème séance plénière de la 2ème Session ordinaire de l’Assemblée nationale a été consacrée au vote la loi de finances rectificative, gestion 2017. Avec ce vote, la loi de finances s’équilibre à 1.412 milliards en dépenses et en recettes contre 1.227 milliard initialement prévus. L’adoption de cette loi de finances rectificative ouvre la voie à l’étude du budget de l’Etat exercice 2018 dont les travaux en Commission commenceront incessamment. L`argentier du Togo, Sani Yaya.


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Apres sa sortie réussie sur le marché financier de l’Uemoa (sursouscription à 107%), le 26 janvier dernier, le Togo va tenter vendredi de rééditer sa performance, d’il y a trois semaines, avec un besoin de financement de 20 milliards de FCFA.

Le nominal est fixé à 1 million de FCFA et devrait être remboursé après 12 mois. Pour ces bons assimilables, le Trésor togolais veut servir plusieurs taux aux investisseurs.

Le pari semble osé au regard de la similitude des caractéristiques de cette opération avec celle du 12 janvier, la première émission de 2018 qui s’était soldée par une souscription en deçà des objectifs. Toutefois, le pays peut compter sur un retour manifeste de la confiance des investisseurs. Une confiance confortée par les réformes engagées par Lomé et les perspectives favorables à court et moyen termes, annoncées par les institutions internationales (Banque mondiale, FMI) et panafricaine (BAD).

De plus, le pays disposant du seul port en eaux profondes d’Afrique de l’Ouest, attend le vote de confiance de l’Afreximbank pour un financement à même de booster son commerce. Sans parler des prévisions favorables de la Coface qui anticipe pour 2018 un endettement public sous la barre des 70%.
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