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L’Afrique francophone peine encore à développer ses talents
Publié le vendredi 16 fevrier 2018  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
Nouvelles échauffourées sur le campus de Lomé, suite à une tentative de tenue d`AG par la LTDE
Lomé, le 30 janvier 2018. Nouvelles échauffourées sur le campus de Lomé. L`AG (Assemblée générale) à laquelle appelait la LTDE (Ligue togolaise des droits des élèves et étudiants) n`est jamais allée à son terme. Elle a été dispersée par la police universitaire aidée des forces de l`ordre, selon plusieurs témoins. Plusieurs blessés dénombrés. La LTDE comptait réclamer l’augmentation des frais de bourses et allocations de secours, la reprogrammation de toutes les unités d’enseignement, la suppression des conditions d’octroi des bourses, etc.


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Faire éclore les talents, les développer et les retenir est encore une mission compliquée à mener pour les pays d’Afrique francophone. C’est ce que révèle Global Talent Competitiveness Index 2018, une récente étude qui compare à ce sujet 119 pays dans le monde.

Seulement sept pays d’Afrique francophone figurent au classement du Global Talent Competitiveness Index 2018 (GTCI). Développé notamment par l’Institut européen d’administration des affaires (Insead), ce classement étudie la capacité de 119 pays à mettre en place un cadre favorable à l’émergence, le développement et la rétention de talents capables d’innover, d’entreprendre ou de diriger. S’ils figurent au palmarès, l’Île Maurice, la Tunisie, le Sénégal, le Maroc, l’Algérie, le Mali et Madagascar occupent plutôt le bas du tableau.


Maurice, bon élève

Première du classement régional, et 46ème au global, l’Île Maurice fait figure de bon élève mais ne coche pas pour autant toutes les cases. Selon le GTCI 2018, l’île remplit à 61 % les conditions pour permettre à sa population de développer ses aptitudes. Elle est particulièrement bien notée pour sa stabilité politique, son paysage réglementaire, la dynamique de son économie et sa capacité à développer rapidement une entreprise.

L’île de l’Océan Indien dispose également d’un cadre de vie agréable et de conditions sanitaires qui peuvent plaire aux talents et les faire rester. Au vu des résultats de l’étude, tout l’enjeu pour elle est de parvenir à attirer des talents extérieurs et développer un savoir de base qui demeure faible au niveau local. Sur ce plan, il se peut que le projet Uniciti, qui concentre plusieurs universités et écoles de renommée internationale permette de faire progresser l’île.
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