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Rapport biaisé
Publié le vendredi 23 fevrier 2018  |  Republic of Togo


© aLome.com par Parfait & Edem Gadegbeku
Sept étudiants relaxés pour défaut de preuves au terme d`un procès sous tension après les violences du 14 au 16 juin sur le campus de Lomé
Lomé, le 20 juin 2017. Salle d`audience du Palais de justice de la capitale togolaise. Le procès des étudiants de l’Université de Lomé arrêtés lors des manifestations des 14,15 et 16 juin 2017 sur le campus universitaire réclamant de meilleures conditions d’études s`est achevé sur une relaxe de 7 étudiants pour défaut de preuves, à la grande satisfaction de leur conseil. Le procès s’est déroulé sous une grande tension entretenue par le mécontentement des étudiants venus épauler leurs camarades jugés.


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‘Les autorités ont continué de restreindre les droits à la liberté d’expression et de réunion lors de manifestations de masse organisées par des groupes d’opposition. Les forces de sécurité ont eu recours à une force excessive contre des manifestants ; 11 personnes au moins ont été tuées. Les arrestations et détentions arbitraires, la torture et les autres formes de mauvais traitements, ainsi que l’impunité en cas de violations des droits humains, avaient toujours cours.’ Voici ce que l’on peut lire dans le dernier rapport publié par Amnesty International.

L’ONG n’a jamais été tendre et en tout cas jamais vraiment impartiale à l’égard des autorités. Raison pour laquelle ce rapport doit être appréhendé avec la plus grande prudence et un certain recul.

Comble de l’excès, Amnesty accuse le pouvoir ‘de réprimer le droit à la liberté d’expression’.

‘Il a de façon arbitraire, fermé des médias et arrêté des dirigeants associatifs et des leaders de l’opposition en raison des opinions dissidentes qu’ils exprimaient. Elles ont également bloqué l’accès à internet (…)’.

Cocasse.

Il suffit de lire la presse quotidienne – majoritairement en faveur de l’opposition – pour constater la manière dont les autorités ‘répriment la liberté d’expression’.
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