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Togo/ Poison lent dans les prisons : Menace de mort sur Kpatcha Gnassingbé et ses deux codétenus
Publié le jeudi 1 mars 2018  |  icilome




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Une information d’une source digne de foi avance que des individus mal intentionnés ont reçu pour mission d’empoisonner, par tous les moyens, les détenus restants dans l’affaire Kpatcha Gnassingbé. S’il est vrai que ce n’est pas la première fois que la vie de ces citoyens est menacée, le contexte actuel rend cette information très inquiétante.

L’objectif de cette funeste démarche en cours contre les détenus est de faire en sorte qu’ils meurent d’une mort lente quelques temps après leur libération. Donc nous tenons à informer l’opinion publique nationale et internationale de ce projet et de ce qui pourrait en découler.

Alors que le processus de libération a normalement commencé, Faure Gnassingbé fait le pied de grue pour les trois reliquats des détenus de ce dossier. Pendant que cette libération devrait rentrer dans le cadre des mesures d’apaisement, Faure Gnassingbé continue par faire grise mine à chaque fois que le nom de son petit frère est avancé. La médiation estime qu’il faut un apaisement général à tous les niveaux. Entre-temps monsieur Faure a promis libérer les détenus de cette affaire et le président ghanéen, qui estime à juste titre, qu’il s’est fait trop d’ennemies, l’encourageait.

C’est dans cette logique que certains d’entre eux ont commencé par être libérés il y a quelques mois. Actuellement, ils son t trois : Kpatcha Gnassingbé, le Commandant Atti et l’officier Dontema qu’il reste encore en détention. Ils sont supposés être libérés dans le cadre de l’apaisement pour le dialogue. Mais quand Faure Gnassingbé s’y oppose au même moment où ces informations délicates sortent, il y a lieu de prendre l’alerte au sé- rieux. On se demande si certains ont envie de voir Kpatcha Gnassingbé plutôt mort que vivant. Eliminer par un poison lent à travers une mort programmée est un petit sport pour les dictatures.
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