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Togo/ Commission de la CEDEAO : Marcel Alain de Souza passe la main à Jean-Claude Brou
Publié le vendredi 2 mars 2018  |  icilome


© Autre presse par CEDEAO
Après près de deux ans passés à la tête de la Commission de la Cedeao, Marcel de Souza a cédé son fauteuil, le jeudi 1er mars 2018, à Abuja, au Nigeria, à son successeur Jean-Claude Brou (g)


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Jean-Claude Brou, ministre des finances de la côte d’Ivoire succède à Marcel Alain de Souza ce 1er mars pour un mandat de quatre ans. L’Ivoirien est rentré en fonction depuis ce matin du 1er Mars 2018 après une passation de service hier. Depuis Abuja, où se trouve le siège de l’organisation sous-régionale, plusieurs dossiers sensibles l’attendent, dont celui de la monnaie commune.

La commission de la CEDEAO, c’est aussi le cas du Togo. Le responsable sortant de cette commission est un béninois et un beau frère du président Faure Gnassingbé en situation délicate au Togo. Il vous souvient que ce monsieur, dès les premières heures de la crise togolaise a couru au secours de son beau-frère par des démarches tronquées très vits boudées par l’opposition togolaise. A travers des câbles diplomatique, et arrangements de tout genre, sa présence à la tête de cette commission a toujours été une bouée de sauvetage pour la fratrie dirigeante au Togo. En prenant la responsabilité de cette commission, l’Ivoirien a un vaste chantier qui attend. Au plan organisationnel, il y a nécessité d’opérer les réformes structurelles et institutionnelles devant permettre à la CEDEAO d’être plus efficace et plus efficiente.

Par rapport aux questions relatives à la paix, à la sécurité et à la démocratie dans l’espace communautaire, la rencontre d’Abuja qui a choisi l’Ivoirien avait réaffirmé leur importance pour le développement économique durable de la région. A propos du Togo, la Conférence exprimait sa préoccupation face aux tensions politiques persistantes et condamnait les formes de violences et de débordements qui se traduisent par des pertes en vies humaines, des blessés et des dégâts matériels. Elle s’est félicitée des mesures d’apaisement prises par le gouvernement togolais, afin de créer un environnement propice à l’ouverture du dialogue national visant à la mise en œuvre consensuelle des réformes politiques souhaitées, mesure d’apaisement dont une bonne partie reste encore un vain mot jusqu’ici.
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