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Les nouvelles technologies, outil d’amélioration de la crédibilité des scrutins?
Publié le vendredi 16 mars 2018  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Lakente Bankhead
La CENI annonce les grands traits de sa prẻparation du scrutin prẻsidentiel de 2015
Lomẻ, vendredi 19 décembre 2014. Les premiers responsables de la Commission Electorale Nationale Indépendante étaient face à la presse togolaise afin de la situer sur son budget de fonctionnement en vue de la présidentielle de 2015.


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Commissions, missions d'observation, biométrie, vote électronique... Tous ces outils déployés sur le continent doivent conduire à améliorer la fiabilité des scrutins.



Il n’est pas si éloigné le temps de l’omniprésence des partis uniques, des scrutins arrangés et du bourrage des urnes institutionnalisé : vingt-cinq ans. N’en déplaise aux incurables pessimistes, qui s’imaginent les élections africaines vouées à la fraude pour l’éternité, la démocratie fait des progrès en Afrique. À en croire le centre de recherche Les Afriques dans le monde (Bordeaux), moins de la moitié des scrutins organisés en 2015 et 2016 peuvent être considérés comme honnêtes et équitables.

L’exemple de la Gambie est révélateur. Si Yahya Jammeh, le président sortant, a fini par contester sa défaite, qu’il avait dans un premier temps reconnue, le résultat du scrutin présidentiel n’en a pas moins stupéfié la communauté internationale, tant, depuis des lustres, toute incertitude électorale semblait bannie dans ce pays. L’alternance l’a finalement emporté sans heurt.


Encadrement des processus électoraux

Plus récemment, au Liberia, une ex-star du foot a déjoué les pronostics et conquis la magistrature suprême face à un adversaire qui a admis sa défaite avant même l’annonce des résultats définitifs. Bref, le jeu démocratique en Afrique est de moins en moins biaisé. Tout n’est certes pas encore parfait, mais la plupart des observateurs interrogés dans le cadre de cette enquête choisissent de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.

À qui attribuer le mérite de cette évolution éminemment positive ? À la brusque conversion démocratique de la classe politique ? À la confiance contre toute attente retrouvée des citoyens dans leurs institutions ?
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