Unir-Sénégal témoigne son soutien à Faure Gnassingbé

Diaspora

Publié le lundi 19 mars 2018 | UNIR

© aLome.com par Parfait
Premières images de campagne 2015 à Lomé.
Lomé, le 10 avril 2015. Le parti UNIR entame sa campagne présidentielle 2015. Il fait partie des 1ers partis à se lancer dans une opération de charme dans la capitale togolaise.

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Activités des partis politiques togolais en 2018

La section sénégalaise du grand Parti Union pour la République (UNIR) a animé un point de presse, ce jeudi 15 mars 2018, à Dakar au Sénégal.

Au regard des évènements malheureux qu'a connu le Togo ces derniers mois, les militants du parti UNIR vivant au Sénégal sont montés au créneau pour expliquer à l’opinion internationale, les dessous de la crise socio-politique que traverse le Togo depuis plus de six mois.

Depuis le 19 août dernier, le Togo a connu une série de manifestations de rue organisées par l’opposition. Ces manifestations ont été généralement caractérisées par des actes de vandalisme, la mise à sac des biens publics et privés.

Pour le Dr Dieudonné Kabkia, porte-parole de la section Unir- Sénégal, ces malheureux évènements qui ont donné un coup fort à l’économie togolaise sont la résultante d’une volonté machiavélique de l’opposition togolaise.

La section Unir-Dakar condamne avec fermeté et déplore par la même occasion, les violences survenues lors des manifestations des 14 partis politiques de l’opposition.

Se prononçant sur l’épineuse question des réformes constitutionnelles et institutionnelles, Unir-Sénégal estime que l’opposition togolaise doit faire preuve d’ouverture et surtout éviter de résumer la question des réformes politiques à la personne de Faure Gnassingbé.

Le chargé de communication de cette section a également expliqué que leur parti n’a jamais été contre les reformes.

«Nous voulons d’ailleurs les reformes. Une réforme est une loi et la loi reste impersonnelle» et de rappeler aussi que «le Chef de l’Etat togolais a maintes fois réitéré sa volonté de procéder à des réformes institutionnelles et politiques ». Ils en veulent pour preuve l’introduction d’un projet de loi portant sur les réformes politiques à l’Assemblée Nationale que l’opposition a malheureusement rejeté.

La section Unir-Sénégal s’est également réjouie de l’ouverture d’un dialogue le 19 février dernier et a émis le vœu de voir ce cadre de discussions aboutir à des résultats probants.

«Notre souhait est que le dialogue permette à la classe politique de se rassembler autour d’un texte qui sera soumis au verdict du peuple», précise-t-il. ... suite de l'article sur Autre presse

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