Au ministre du Développement à la Base, de l’Artisanat, de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, les projets et programmes sont aussi nombreux qu’ils se ressemblent et se chevauchent.
C’est en substance le résumé du rapport de l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE) qui a fait une étude sur les initiatives incarnées par le département ministériel de Madame Victoire Tomegah-Dogbé, notamment Paipja, Aide, Anvt, Faiej, Fnfi, Pdc Plus, Pradeb…
Selon le rapport, cité par le quotidien Liberté N°2639 du 21 mars 2018, «le foisonnement de programmes et projets pilotés par des structures autonomes, et dont certaines actions s’entremêlent sans véritable coordination constitue un goulot d’étranglement ».
Autre critique, ledit ministère « ne dispose pas actuellement d’une structure formelle et des capacités suffisantes en matière de recherche et d’analyse des politiques et, par conséquent, n’est pas en mesure d’évaluer rigoureusement l’efficacité des interventions mises en place». La liste des griefs n’est pas exhaustive ici. ... suite de l'article sur Autre presse