Issue de sortie de crise: Gilbert Bawara répond à Tikpi Atchadam

Politique

Publié le jeudi 22 mars 2018 | Togo Top News

© aLome.com par Edem Gadegbeku et Dodo Abalo
Ouverture du dialogue intertogolais 2018: présence de diverses personnalités pour une sortie de crise
Lomé, le 19 février 2018. Coupole de l`hôtel du 02 FEVRIER. Ouverture du 27e dialogue intertogolais 2018: présence de diverses personnalités pour une sortie de crise, en présence du facilitateur Nana Akufo-Addo. Une partie de la délégation d`UNIR. Derrière, Edem Kodjo, ex PM du Togo.

Vos outils

REAGISSEZ

Vidéos

A. Tikpi s`étonne des conditions d`annulation des marches censées débuter le 20 mars

- 18/3/2018

Dans le dossier

Dialogue 2018 & Médiations dans la crise togolaise sur les réformes politiques

Le récent souhait du leader du Parti National Panafricain de voir la CEDEAO intervenir militairement au Togo, intrigue au plus haut point le ministre togolais de la fonction publique. Se prononçant sur les dernières évolutions de la situation politique, Gilbert Bawara balaie toutes les spéculations du revers de la main et dit se concentrer sur le dialogue qui sera de nouveau ouvert dans les prochains jours .

Cet appel de Tikpi Atchadam « n’émeut guère », soutient Gilbert Bawara. Pour le ministre, toutes les attentions devraient être tournés vers le chemin du développement économique et du progrès social. C’est d’ailleurs, révélé t-il, l’un des points abordés avec le ministre Kan-Dapaah lors de son passage à Lomé ce lundi 19 mars.

« Les discussions se sont focalisées sur la nécessité impérieuse pour tous les acteurs de préserver le climat d’apaisement actuel en respectant la suspension des manifestations et surtout l’importance de reprendre sans délai les discussions de fond dans le cadre du dialogue politique. Sur ces deux points essentiels, les violons se sont accordés avec l’envoyé du président ghanéen »,a confié Gilbert Bawara aux confrères de Togo Breaking News.

Autre point abordé par le ministre Gilbert Bawara : les supposées incompréhensions au sein de la Coalition des 14 partis politiques de l’opposition ces derniers jours. Le sujet le n’intéresse pas non plus, soutient-il.

« Je ne m’intéresse guère ni à d’éventuels clivages, guéguerres ou dissensions au sein des partis politiques ou regroupements de partis politiques ni aux débats et aux stratégies internes qui peuvent prévaloir en leur sein », estime Gilbert Bawara. ... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires