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Togo : reprise dans l’incertitude du dialogue
Publié le mardi 27 mars 2018  |  DW Afrique


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
Les travaux du dialogue intertogolais de nouveau reportés après la 3e session de discussions
Lomé, le 23 mars 2018. Hôtel 2 Février. Les travaux du dialogue intertogolais 2018 de nouveau reportés après la 3e session de discussions en présence du facilitateur Nana Akufo-Addo.


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Après plusieurs semaines d’interruption, les travaux du dialogue inter-togolais ont repris ce vendredi, à Lomé, en présence du facilitateur, le président ghanéen. Les différentes parties campent sur leurs positions.


L'opposition avait suspendu ses manifestations hebdomadaires pendant le déroulement du dialogue avec le pouvoir. Se sentant flouée, elle a menacé la semaine dernière de battre le rappel de ses troupes. C’est pourquoi, en début de semaine, les partenaires internationaux du Togo, l’Union européenne et les ambassades de France, d'Allemagne et des Etats-Unis, ont pressé l’opposition et la majorité au pouvoir de reprendre au plus vite le dialogue afin de trouver un modus vivendi.

Arrivé ce vendredi, en début de matinée à Lomé, le président ghanéen, Nana Akufo-Addo a entrepris des consultations bilatérales avec les différentes parties qui campent sur leurs positions. Ce qui laisse planer le risque d’un échec de ces négociations.



Positions antagonistes


Le président de l’Institut international de gestion des conflits reconnait que la tâche n’est pas facile pour le facilitateur ghanéen.

"Il y a deux positions antagonistes très fortement marquées. Et aujourd'hui, vu la situation au Togo, aucun des camps ne voudrait perdre la face. Et donc, c'est à la médiation de proposer la solution de compromis. S'il ne réussit pas aujourd'hui, alors on repart à zéro. Ce n'est pas facile, je le reconnais. Mais c'est pour ça qu'on a besoin des médiateurs. Si c'était facile, on n'aurait pas besoin d'eux" estime Kag Sanoussi.


L’opposition reste constante


Les revendications de l’opposition à ce dialogue restent les mêmes. Elle exige, notamment, une décrispation du climat politique, avec la libération des prisonniers politiques. Exigences à laquelle s’est plié en partie le pouvoir togolais le mois dernier.

Mais le secrétaire général du PNP, le Parti national panafricain, Kossi Sama, a rappelé son exigence principale.


"Le rétablissement de la constitution de 1992 et le vote de la diaspora. Et tous les Togolais, aujourd'hui, sont convaincus que leur constitution est celle de 1992. Et ils demandent le retour de cette constitution. Maintenant, il faut que le pouvoir en face accepte le retour de la constitution, ensuite on continuera à débattre."
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