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Amélioration de l’accès à internet : 400 millions de dollars dorment dans les caisses des États africains
Publié le mercredi 28 mars 2018  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
1ère édition de l`IT Forum Numérique au Togo
Jeudi 8 septembre 2016. Hôtel Sarakawa. Sous le parrainage de la ministre Cina Lawson de l`Economie numérique du Togo, Cio Mag (support d’information et de veille technologique au service des principaux décideurs du secteur IT en Afrique) a tenu la 1ère édition de l`IT Forum Numérique au Togo, devant un parterre de spécialistes locaux et étrangers.


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Plus de 400 millions de dollars destinés à renforcer l’accès à internet ne sont pas utilisés, alors qu'ils sont à la disposition des gouvernements africains, selon un rapport produit par World Wide Web Foundation et Alliance for Affordable Internet.

Les gouvernements africains ont à leur disposition plus de 400 millions de dollars destinés à améliorer l’accès à internet. Une manne qui dort et n’est pas investie dans un secteur qui est pourtant fondamental pour le développement des économies du continent. Ce chiffre est issu des estimations réalisées par World Wide Web Foundation, Alliance for Affordable Internet et UN Women dans une étude publiée en mars 2018.

En effet, alors que l’Afrique est « la région avec le taux de pénétration d’internet le plus bas (22 %) et le fossé numérique entre les genres le plus élevé (25 %) », il y a 177 millions de dollars qui « dorment » dans les Fonds pour l’accès et le service universels (FASU), sans être dépensé. Un chiffre qui ne concerne que les 13 pays qui publient des détails sur le fonctionnement de leurs FASU, note l’étude.

Plus de 400 millions de dollars ne sont pas dépensés par les États africains


Au total, pour les 37 FASU en Afrique, ce sont plus de 408 millions de dollars qui ne sont pas dépensés par les États africains, alors que ce montant pourrait être utilisé pour améliorer l’accès à internet des populations, selon les estimations du rapport.


Seul 68 % des pays africains disposent d’un FASU, et 62 % de ces caisses sont actives. Le taux de décaissement des FASU est limité, atteignant seulement 54 % en 2016. Seulement quatre des fonds pour lesquels les informations sont disponibles ont un solde égal à zéro : la Côte d’Ivoire, le Nigeria, le Rwanda et l’Ouganda.
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