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Togo/Tikpi Atchadam : «Je continue de le marteler, Faure doit partir»
Publié le mercredi 28 mars 2018  |  icilome


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
Conférence de presse en prélude aux manifestations des 6 et 7 septembre 2017 de l`Opposition
Lomé, le 4 septembre 2017. Siège de la CDPA. Conférence de presse des principaux leaders des formations d`opposition qui prennent part aux manifestations des 6 et 7 septembre 2017, sur toute l`étendue du territoire national. Une sortie médiatique marquée par la réapparition publique officielle de TIKPI ATCHADAM du PNP, depuis les marches des 19 et 20 août 2017. TIKPI ATCHADAM


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Il est clair qu’aujourd’hui, la question de la candidature de Faure Gnassingbé en 2020 ne se pose plus au niveau de la Coalition des 14 partis de l’opposition. Pour les responsables de ce regroupement, l’actuel chef de l’Etat ne doit même pas faire ce rêve, puisqu’il aura déjà bouclé 3 mandats, et donc dans l’incapacité de prétendre briguer un autre.

Dans une interview accordée à la radio Avulete mardi, le président du Parti national panafricain (PNP), Tikpi Atchadam, l’un des leaders de la Coalition des 14 a été clair sur la question : Faure Gnassingbé doit partir en 2020.

«Le peuple veut l’alternance. Il demande la fin du système des Gnassingbé. Et c’est conformément à cette demande que la revendication de la Constitution de 1992 a été formulée. C’est sur cette base que les mouvements ont été lancés », a rappelé Tikpi Atchadam.

Pour lui, il faut que Faure Gnassingbé démissionne, afin de permettre l’ouverture d’une transition qui conduira les élections législatives, locales et la présidentielle de 2020. Et il explique bien ce qu’il entend par transition qui doit être différente de ce que le Togo a connu dans les années 90 où Gnassingbé Eyadéma avait totalement repris la main après la Conférence nationale souveraine.

« Une transition ne signifie pas un gouvernement d’union nationale. Il n’est pas question d’un gouvernement d’union nationale. Il est bel et bien question d’une transition sans Faure Gnassingbé. On ne peut pas avoir fait tout ce qu’on a fait jusqu’aujourd’hui pour des portefeuilles ministériels », a-t-il souligné.
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