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Le régime de Faure Gnassingbé impliqué dans le putsch manqué au Burkina
Publié le vendredi 30 mars 2018  |  Icilome


© Autre presse par DR
Célébration du 54ème anniversaire de l’indépendance du Togo
Dimanche 27 avril 2014. Lomé. Un grand défilé militaire et civil a marqué la célébration du 54ème anniversaire de l’accession du Togo à l’indépendance en présence du président Faure Gnassingbé.


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« J’ai fait venir ce matériel de la Côte d’Ivoire par un hélicoptère qui est allé de Ouagadougou récupérer à la frontière, et du Togo, en véhicule à la frontière. Il ne s’agit pas d’une commande publique, mais de l’aide que j’ai demandée à ces deux pays (…) au Togo, je me suis adressé au chef d’Etat-major de la gendarmerie, le colonel MASSENA… » (Ndlr- Massina), dixit le Général Gilbert Diendéré dans son audition, citée par L’Alternative.


Le général Gilbert Diendéré, principal accusé dans le renversement du gouvernement de Transition au Burkina-Faso voisin en septembre 2015 après la chute de Blaise Compaoré.

Pour mettre en place ce que ces putschistes appelaient Conseil National de Transition, ils ont dû recourir au soutien de la Côte d’Ivoire et du Togo, selon la déposition du Gilbert Diendéré qui cite le Colonel Yotroféi Massina, chef des services de renseignements togolais, homme de main de Faure Gnassingbé et son régime.

Parti des extraits sur la déposition du Général Diendéré, le bihebdomadaire togolais L’Alternative relève qu’il « apparaît clairement que le régime de Lomé, habitué à déstabiliser d’autres pays dans la région, a pris une part importante dans le coup d’Etat manqué au Burkina-Faso en 2015 ».

D’ailleurs, cette déposition a suscité un tollé général au Burkina-Faso où l’opinion revendique des mandats d’arrêts internationaux contre que ceux qui ont livré des armes ayant fait une quinzaine de morts et 114 blessés dans le pays des Hommes intègres, que ces présumés criminels répondent de leurs actes devant la justice burkinabé.



A. Lemou
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