Le président du Réseau des jeunes africains pour la démocratie et le développement (REJADD), Assiba Biova Johnson, enlevé mercredi dernier à Lomé et gardé dans les locaux du Service de recherches et d’investigations (SRI) de la Gendarmerie nationale, a été situé sur son sort jeudi.
Quatre (4) chefs d’accusation sont retenus contre ce défenseur des droits de l’Homme dont l’organisation a publié un rapport sur les répressions des manifestations de la Coalition des 14 entre août 2017 et janvier 2018. « Propagation de fausses nouvelles, outrage à autorités et appel au génocide », voilà les accusations retenues contre Assiba Biova Johnson.
Ce qui est curieux, c’est le commandant en chef du SRI, et non un juge, qui a notifié ces chefs d’accusation au président du REJADD. ... suite de l'article sur Autre presse