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‘Togo debout’ exige la libération sans conditions de David Dosseh
Publié le samedi 7 avril 2018  |  GLOBAL ACTU


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Les responsables du Mouvement «Togo debout» annoncent un concert pour promouvoir la paix le 22 octobre à Lomé
Lomé, le 16 octobre 2017. Maison de la Santé du SYNPHOT. Au cours d’une conférence de presse, les responsables du Mouvement «Togo debout» annoncent avoir réintroduit une nouvelle déclaration préalable de concert prévu pour se tenir le 22 octobre 2017 à la plage, en face de l’ex Hôtel de la Paix. Cette sortie fait suite à la lettre du président de la Délégation spéciale de la ville de Lomé, le Contre-amiral Fogan ADEGNON, interdisant le concert prévu pour le 15 octobre dernier sur la plage. Motif évoqué par l’autorité compétente dans son courrier : "risque de trouble à l’ordre public".


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Le Front citoyen ‘Togo debout’ (FCTD) exige la libération sans conditions de son premier porte-parole, le professeur David Dosseh et Antoine Ayao Gbandou, secrétaire général de la Fédération des travailleurs du bois et de la construction (FTBC), tous deux arrêtés ce samedi à Cassablanca où devrait se tenir un meeting organisé par ce mouvement.

Il demande également à toute la population togolaise de se tenir prête pour des actions dans les prochains jours.

C’est ce qui ressort de la conférence de presse animée ce samedi par le front citoyen, quelques heures après l’arrestation de deux des leurs.

Que s’est-il exactement passé ? Selon Me Raphaël Kpandé-Adzaré, 2ème porte-parole du Front, les deux personnes arrivées sur les lieux bien avant le début de la manifestation, ont été arrêtées et conduits vers une destination inconnue pour la simple raison qu’elles ont porté des T-shirt à l’effigie du FCTD.

«L’habit serait-il devenu un élément constitutif d’une infraction ? Porter un T-shirt à l’effigie de TOGO DEBOUT serait-il une menace à l’ordre public ? Comment pourraient-ils se faire distinguer en dehors du T-shirt TOGO DEBOUT ? », se demande dans un communiqué de presse ‘Togo debout’.


Pour les responsables de ce mouvement de la société civile qui milite aux côtés des Togolais pour le retour à la constitution de 1992, le fait que certains citoyens affiliés au parti au pouvoir, l’Union pour la République (UNIR) continuent de jouir de leurs droits alors que d’autres citoyens en sont privés, met gravement en péril la concorde nationale.

Pour rappel, la délégation spéciale de la commune de Lomé, se basant sur le motif que les acteurs politiques ont signé un accord de suspension des manifestations publiques pour cause du dialogue politique, ont interdit ce meeting que le front citoyen veut un moment d’information, de veille citoyenne et d’exhortation républicaine.

Bien avant le début de la manifestation, la zone a été bouclée par la police et la gendarmerie. Des militaires sont aussi annoncés sur les lieux. Selon le front citoyen, les premiers atroupements ont été dispersés à coups de gaz lacrymogènes.



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