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Bawara: "La coalition a rompu les soubassements du dialogue, il faut en tirer les conséquences"
Publié le vendredi 13 avril 2018  |  Togobreakingnews.com


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Séminaire gouvernemental à l’intention des directeurs généraux , secrétaires généraux, experts, hauts fonctionnaires de l’Etat, de la Société civile et du secteur privé
Lomé, du 17 au 18 mai 2017. Hôtel Sancta Maria. Séminaire gouvernemental à l’intention des directeurs généraux , secrétaires généraux, experts, hauts fonctionnaires de l’Etat, de la Société civile et du secteur privé. Ils ont été réunis autour du thème «Transformer la gouvernance et l’Administration publique au Togo pour la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable». C’est le ministre de la Fonction Publique, du Travail et de la Réforme Administrative, Gilbert BAWARA qui a, au nom du Premier Ministre, lancé les travaux dudit séminaire en présence de Khardiata LO N’DIAYE, Représentante Résidente du PNUD et coordonnatrice Résidente du système des Nations Unies, et du Secrétaire général du gouvernement, Florent MANGANAWE. Les participants ont suivi des communications d`experts venus des Etats-Unis, d’Afrique, communications suivies de débats. G. Bawara.


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Gilbert Bawara réagit aux derniers développements de la situation sociopolitique. Une réaction qui fait suite au bras de fer qui s’instaure depuis que la coalition des 14 partis politiques de l’opposition a décidé de reprendre les manifestations de rue. Manifestations étouffées mercredi par les forces de l’ordre et de sécurité. Le ministre togolais de la fonction publique accuse les leaders du regroupement de l’opposition d’afficher une attitude désobligeante envers le Facilitateur et de se livrer à une restitution « tronquée et mensongère des propos prêtés au président ghanéen » dans le seul but d’envenimer la situation. De même, l’homme de confiance de Faure Gnassingbé fustige les leaders de l’opposition d’avoir rompu les soubassements du dialogue et de s’être déliés des engagements essentiels. Il assure qu’il faudra en tirer toutes les conséquences, et rassure quant à la volonté du gouvernement de persévérer dans la voie des réformes politiques indispensables pour la rénovation de la vie démocratique au Togo.

Gilbert Bawara a confirmé qu’une délégation du parti UNIR a eu une rencontre et de longs et fructueux échanges, le jeudi 5 avril à Accra avec le président ghanéen. Pour lui, cette rencontre relève davantage des fréquentes consultations et conciliabules entre les autorités togolaises et la facilitation afin de faire le point de la situation sur le terrain et faire progresser le processus de dialogue.

« L’entretien a porté spécifiquement sur le dialogue politique et les voies et moyens pour son aboutissement à une issue heureuse. Lorsque les discussions directes reprendront à l’initiative et sous les auspices du facilitateur, chaque partie prenante aura l’occasion de se prononcer sur les sujets de fond en suspens. Car, il n’est pas dans les usages d’étaler sur la place publique les propos, l’opinion ou les positions d’un dirigeant étranger, même s’il est facilitateur », a-t-il dit à Togo Breaking News.
Interprétations « approximatives et tendancieuses » des propos d’Akufo-Addo

Le point focal du gouvernement sur la question du dialogue trouve « irrespectueux, malsain et contraire » au règlement intérieur du dialogue de se livrer à des interprétations « approximatives et tendancieuses et à des contre-vérités » concernant les propos que le président ghanéen aurait tenus ou la position qu’il aurait exprimée. Gilbert Bawara ajoute que les propos prêtés au président ghanéen par la coalition de l’opposition, procèdent de la désinformation et de l’intoxication dans une tentative de manipulation de l’opinion nationale.

« Cette attitude jette un discrédit sur notre classe politique et soulève bien évidemment beaucoup de questions, et même des doutes et interrogations sur la qualité de nos acteurs politiques. Ni le gouvernement ni la majorité n’ont à entrer dans cette logique abjecte de jusqu’au-boutisme et de surenchère », affirme M. Bawara.
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