Le président de Sursaut-Togo revient sur le sommet de la CEDEAO tenu à Lomé le samedi 14 avril dernier, et demande aux chefs d’Etat de la sous-région de mettre immédiatement fin au mandat de Faure Gnassingbé à la tête de l’institution communautaire. Lisez plutôt
Mettons un terme immédiat à la présidence de Faure à la tête de la CEDEAO !
Ouvert le 19 février 2018 à Lomé par le seul Président du Ghana, S.E.M. Nana Akuffoh-Addo en l'absence de son homologue togolais pourtant principal intéressé, le dialogue inter-togolais, le 27e du nom, a fait long feu ! Le monde entier peut constater aujourd'hui que ce court épisode qui a juste permis à Gnassingbé de marquer publiquement son manque de respect au Président Nana Akuffoh-Addo à qui nous témoignons notre profonde gratitude, ainsi que de « mystifier » une fois de plus le peuple togolais, s'est achevé sur un total fiasco, mais a surtout été l'occasion rêvée pour le pouvoir togolais de rejouer sa sempiternelle partition de dilatoire, continuer sa fuite en avant et piéger son opposition dans un cul-de-sac pour mieux s'en saisir : « ...au nom du dialogue en cours, vous n'avez plus le droit ni de marcher, ni de manifester ; par contre nous, pouvoir, nous nous octroyons le droit de mettre sous occupation militaire les villes de Sokodé, Bafilo et Mango ; d'arrêter, humilier, torturer qui nous voulons ; continuer à suivre notre agenda pour aboutir à un changement de gouvernement, lancer notre référendum, organiser les élections législatives et locales avec ou sans l'opposition... », ainsi parle le RPT/UNIR, pouvoir « divin » régnant sur le Togo depuis plus de 50 ans ! ... suite de l'article sur Autre presse