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Le SYNPHOT promet une grève sèche pour réclamer la libération des enseignants arrêtés à Kara
Publié le lundi 16 avril 2018  |  Le Télégramme du Togo


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
Descente improvisée des membres du SYNPHOT à leur ministère de tutelle
Lomé, le 03 avril 2018. Descente improvisée des membres du SYNPHOT à leur ministère de tutelle, alors qu`ils étaient en pleine AG, quelques minutes plus tôt. Une démarche ayant pour finalité de crier leur ras-le-bol au sujet de leurs conditions quotidiennes de travail.


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""Le SYNPHOT est membre de la STT (Synergie des Travailleurs du Togo) et tout problème qui concerne la STT, le SYNPHOT va répondre présent"". Ce sont là des mots qui plantent le décor de la position prise par le Syndicat National des Praticiens Hospitaliers du Togo dans le dossier des enseignants arrêtés à Kara.
En Assemblée générale ce lundi à Lomé, ce syndicat qui ne cesse de multiplier les grèves avec service minimum depuis un moment se fait encore plus menaçant par rapport à ce dossier.
""Le SYNPHOT, membre de la STT promet une grève sèche jusqu’à la libération des enseignants arrêtés"", c’est ce qu’a laissé entendre ce jour un des responsables de ce syndicat.
Représentant le SYNPHOT au sein du groupe de travail mis en place par le gouvernement, Gilbert Tsolényanou a profité de l’occasion de cette assemblée pour faire le point des travaux aux membres du Syndicat. ""Les choses avancent lors des discussions"" a assuré M. Tsolényanou.
Toutefois, reste-il ferme, ""Malgré l’avancée des discussions le SYNPHOT s’en tient à toutes ces revendications qu’il juge très importantes"" et le mouvement enclenché "" ne va pas s’arrêter sans qu’on n’obtienne ce qu’on demande"".
C’est bien là une position du SYNPHOT qui atteste que le pouvoir de gouvernement de Komi Klassou n’est pas sorti de l’auberge et qu’il faudra compter avec les particiens hospitaliers du Togo à tout moment où il s’avèrerait opportun de manifester pour revendiquer leurs droits.
T228

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