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Le point du communiqué de la CEDEAO qui fâche l’ANC
Publié le mardi 17 avril 2018  |  Global ACTU


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
Travaux préparatoires du 27è dialogue intertogolais: 3ème jour de discussions entre UNIR et la Coalition des 14
Lomé, le 17 février 2018. Hôtel du 02 Février. Six heures d`horloge de travaux au menu des discussions de ce jour. La facilitation ghanéenne a annoncé aux médias que la signature du communiqué devant sanctionner la fin des travaux préparatoires du dialogue de lundi prochain «est reportée sur ce dimanche, à 9HTU au 02 Février, au lieu de ce samedi, comme préalablement annoncé». Eric Dupuy de l`ANC


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La nomination des présidents ghanéen, Nana Akufo-Addo et guinéen, Alpha Condé, ce samedi par les chefs d’Etat et de gouvernement comme facilitateurs de la CEDEAO pour la résolution de la crise togolaise, n’a rien de nouveau, selon Eric Dupuy, secrétaire national à la communication de l’Alliance nationale pour le changement (ANC).

Pour le conseiller du chef de file de l’opposition togolaise, les deux (2) chefs d’Etat se sont impliqués dans la facilitation depuis le début et connaissent personnellement la situation politique qui prévaut au Togo.

Néanmoins, il y a un point dans le communiqué ayant sanctionné le Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de la CEDEAO qui fâche à l’ANC. C’est le point 20 qui invite «instamment tous les partis politiques et la société civile togolaise à s’abstenir de tout acte de violence et de tout agissement susceptible de constituer une menace à la paix au Togo et dans la sous-région ».

Eric Dupuy pense que cette prescription donne l’impression que les présidents réunis autour du chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé, président en exercice de la CEDEAO, ce samedi à Lomé n’ont pas la ‘vraie mesure’ de ce qui se passe au Togo.

Ce qui se passe au Togo, a-t-il rappelé, n’est nullement le fait des partis politiques au Togo, ni de la société civile. « Il s’agit d’une répression sauvage et barbare de la part des corps habillés instrumentalisés par le régime. Nous avons appris samedi qu’il avait des miliciens qui étaient venus en renfort », a-t-il décrit ce lundi sur la radio Nana FM, ajoutant que telle est la réalité.

Il se dit persuadé que les pays comme le Bénin de Patrice Talon, le Burkina Faso de Roch Marc Christian Kaboré, le Nigeria de Muhammadu Buhari et le Ghana de Nana Akufo-Addo connaissent très bien la situation qui prévaut au Togo. « Ils sauront apprécier la situation », a-t-il ajouté.

Pour rappel, les chefs d’Etat réunis en Sommet extraordinaire à Lomé ce samedi confient une lourde mission aux présidents ghanéen et guinéen, celle d’aider les parties à parvenir à des réformes constitutionnelles. Les recommandations auxquelles les 2 présidents vont parvenir avec l’aide de la commission de la CEDEAO seront présentées au prochain Sommet de la CEDEAO. Le président nigérian, Muhammadu Buhari pourrait succéder à Faure Gnassingbé à la tête de la CEDEAO.
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