Après la victoire écrasante de Union pour la République (UNIR) de Faure Gnassingbé, une page est tournée pour ce qui est lié aux élections législatives. Le cap maintenant, c’est la dissolution de l’actuel gouvernement. De quelle couleur sera le prochain ?
D’union nationale ? D’ouverture ? En tout cas les acteurs politiques y réfléchissent. Mais, pas eux tous. C’est le cas par exemple du Collectif Sauvons le Togo (CST) de Zeus Ajavon avec les entités qui y figurent.
Interrogé sur la question, Zeus Ajavon a été clair : pas question pour le CST qui est une société civile d’entrer à un quelconque gouvernement. Pour aller faire quoi ? se demande l’avocat inculpé dans l’affaire des incendies des marchés de Lomé et de Kara.
Même son de cloche avec l’Alliance nationale pour le Changement (ANC ) de Jean Pierre Fabre dont le parti a récolté 19 sièges loin derrière UNIR avec 62.