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Togo: “Boulevard des armées” ou “boulevard de la mort”?
Publié le mercredi 25 avril 2018  |  Courrier d'Afrique


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
A plus de 70% de son chantier réalisé, le "Boulevard des Armées" s’ouvre de nouveau à la circulation normale
Lomé, le 17 août 2017. A plus de 70% de son chantier réalisé, le "Boulevard des Armées" s’ouvre de nouveau à la circulation normale, après de longs et interminables mois de travaux, en attendant la fin et la réception de l’ouvrage.


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Entre les caniveaux à ciel ouvert et les grosses buses posées çà et là, c’est un véritable calvaire que vivent les usagers de la voie dite « boulevard des armées », surtout au niveau du carrefour menant vers Hanoukopé.


Pour ceux qui se perdraient dans la localisation géographique, le « boulevard des armées » est le tronçon qui relie le rond-point du collège Protestant de Lomé-Tokoin à l”avenue de la «Libération » (rond-point Ramco). Dans cet article, nous allons juste nous intéresser à partie de cette voie : le carrefour Gbadago. Si vous vous perdez encore, il s’agit de l’intersection juste après les rails en venant du collège Protestant.


A ce niveau, c’est à un véritable jeu de slalom qu’on assiste, avec des automobilistes obligés de passer des heures interminables au volant de leur voiture. Les motocyclistes, eux, s’en sortent moins durement grâce à des gymnastiques des plus dangereuses. Au mieux des cas, les usagers doivent longer les rails du côté de la société « Mèche Nina » pour se retrouver sur la voie menant à Hanoukopé. Avec des risques là aussi au moment de traverser les rails.


Sur cette voie en chantier depuis deux ans, les accidents se comptent par dizaine chaque semaine. On enregistre « en moyenne sept cas d’accidents par semaine », selon une source policière. « Pas plus tard que ce mardi matin, une voiture est tombée dans un ravin du tronçon », confie un riverain qui ajoute qu’un camion avait connu le même sort dimanche dernier. A cette situation vient s’ajouter la pollution nauséabonde des caniveaux non couverts.

Démarrés en 2016 par l’entreprise CECO BTP, les travaux de réfection de ce tronçon ont été arrêtés pour des raisons qu’on ignore encore.
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