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Togo/ Affaires Bolloré et coup d’Etat manqué au Burkina Faso : Togo Debout exige des explications des autorités togolaises
Publié le vendredi 27 avril 2018  |  icilome


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Les responsables du Mouvement «Togo debout» annoncent un concert pour promouvoir la paix le 22 octobre à Lomé
Lomé, le 16 octobre 2017. Maison de la Santé du SYNPHOT. Au cours d’une conférence de presse, les responsables du Mouvement «Togo debout» annoncent avoir réintroduit une nouvelle déclaration préalable de concert prévu pour se tenir le 22 octobre 2017 à la plage, en face de l’ex Hôtel de la Paix. Cette sortie fait suite à la lettre du président de la Délégation spéciale de la ville de Lomé, le Contre-amiral Fogan ADEGNON, interdisant le concert prévu pour le 15 octobre dernier sur la plage. Motif évoqué par l’autorité compétente dans son courrier : "risque de trouble à l’ordre public". Me Raphaël Kpandé-Adzaré, président de la Ligue Togolaise des Droits de l’Homme, numéro 2 de la Coordination du Mouvement «Togo debout».


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Le Togo est cité pour son implication dans le putsch manqué au Burkina Faso. Il est accusé d'avoir fourni de matériels aux putschistes. Le pays de Faure Gnassingbé est également éclaboussé par l'affaire Bolloré qui fait la une des médias nationaux et internationaux. Le mutisme des autorités togolaises devant ces dossiers révolte le Front Citoyen Togo Debout (FCTD) qui leur demande des explications.


DECLARATION

LE FRONT CITOYEN « TOGO DEBOUT » INTERPELLE LES PREMIERES
AUTORITES TOGOLAISES SUR LES AFFAIRES DU PUTSCH MANQUE AU
BURKINA FASO ET DU GROUPE BOLLORE

1. Le 16 septembre 2015, des éléments du Régiment de Sécurité́ Présidentielle (RSP), l’ancienne garde rapprochée du président déchu Blaise Compaoré, constitués en Conseil National pour la Transition (CNT), avec à sa tête le Général Gilbert Diendéré, ancien chef d’Etat-major de Blaise Compaoré́, avaient tenté de renverser, par un coup d’Etat, le gouvernement de transition piloté par le président Michel Kafando et le Premier ministre Issac Zida. Le bilan a fait une quinzaine de morts et 114 blessés. Plusieurs personnes ont été interpellées dont les Généraux Djibril Bassolé et Gilbert Diendéré.

Le 21 mars 2018, le procès s’est ouvert devant la justice militaire à Ouagadougou. Des pays de la sous-région, dont le Togo, sont accusés d’avoir fourni des moyens aux putschistes. L’implication du Togo transparaîtrait dans les dépositions du Général Diendéré qui affirme s’être adressé au Colonel MASSINA, Directeur Général de la Gendarmerie, pour récupérer le matériel militaire ayant servi au putsch.

2. Le mardi 24 avril 2018, la justice de Nanterre ouvre une information judiciaire contre le groupe Bolloré et ses premiers responsables et portant sur des soupçons de « corruption d’agents publics étrangers » dans le cadre de l’obtention de terminaux à conteneurs sur les ports de Lomé et Conakry, en 2009 et 2010. Il leur est reproché d’avoir sous-facturé des prestations de Havas, la branche communication du Groupe, délivrées à des dirigeants guinéens et togolais en vue de faciliter par la suite l’obtention de des concessions. L’information a pour but de déterminer si le groupe Bolloré a utilisé son bras publicitaire Havas pour faciliter l’obtention de la gestion des ports de Conakry en Guinée et de Lomé au Togo.
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