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62ème session ordinaire de la CADHP : le Togo réfute les allégations de la FILDH et du ROADDH et apporte des précisions
Publié le vendredi 4 mai 2018  |  Republique togolaise


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchako
L’édition 2018 de la Journée internationale de la femme a été célébrée à la salle Marie Dominique à l`Agora SENGHOR
Lomé, le 08 mars 2018. L’édition 2018 de la Journée internationale de la femme a été célébrée par les femmes togolaises à la salle Marie Dominique à l`Agora SENGHOR, en présence de la Ministre de l’Action Sociale et de la Femme, Mme Kolani, entourée pour la circonstance de certains de ses collègues et de plusieurs diplomates. Cette année, le thème internationalement retenu est : "L’heure est arrivée : les activistes rurales et urbaines transforment la vie des femmes". Au Togo, les autorités ont voulu focaliser la célébration de la femme sur un thème beaucoup plus proche de l’actualité politique du pays : "Participation de la femme à la gouvernance publique : Engagement et défis". Par ce thème, les Togolaises entendent inciter les femmes à s`investir davantage dans le monde politique. La ministre Nakpa Polo au centre.


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Nouakchott, la capitale mauritanienne, abrite jusqu’au 09 mai prochain, la 62ème session ordinaire de la Commission africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP).

Une délégation togolaise conduite par le Secrétariat d’Etat chargé des droits de l’homme prend part aux assises. Occasion pour elle de présenter les efforts que poursuit le Togo en matière de promotion et de protection des droits de l’homme. La délégation togolaise a en outre réagi et fait valoir le droit de réponse du pays, suite aux déclarations de la Fédération Internationale des Ligues de Droits l’Homme (FILDH) et du Réseau Ouest africain des Défenseurs des Droits de l’Homme (ROADDH). Elle a tenu a apporté des éclaircissements à chacune des allégations portées par les deux organisations.

S’agissant des manifestations de rues organisées par la Coalition des 14 partis politiques, le Secrétariat d’Etat précise qu’en plus d’avoir été détournées de leurs objectifs premiers, elles ont été émaillées de graves violences ayant entraîné des pertes en vies humaines et d’importants dégâts matériels, contrairement aux déclarations des deux organisations. Les personnes en détention, quant à elles, ont été interpellées non pas pour avoir pris part aux manifestations, mais pour avoir commis un délit ou un crime de droit commun.

La partie togolaise informe qu’avec la mise en place d’un observatoire des manifestations publiques, la question des groupes d’auto-défense est sous contrôle et les violences ont considérablement diminué lors des manifestations. Les allégations de tortures ont été jugées sans fondements. Aucune plainte formelle n’a en effet été enregistrée.

Concernant, les revendications sociales, un protocole d’accord a été signé avec les enseignants et une cellule de réflexion vient d’être mise en place en vue de faire des propositions pour une sortie de crise dans le secteur de la santé.




Crise socio-politique au Togo/F. Gnassingbe croit plus que jamais aux vertus du dialogue!
Publié le: 29/4/2018  | 


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