""Elle (Fousséna Djagba) n’est pas la seule combattante au sein de la diaspora mais le travail qu’elle abat pour l’alternance au Togo est très énorme. Ce n’est pas pour rien que Madame adjamagbo a brandi sa main devant plus de 600.000 manifestants à Casablanca plateau.
Pourquoi elle ne l’a pas fait à une des femmes des leaders de la coalition ? Communément surnommée FOUSS, cette femme de la diaspora qui n’est pas trop connu des togolais au pays fait partie de celles qui luttent pour l’avènement politique au Togo. Elle a fait parler d’elle le samedi dernier (28 Avril 2018, ndlr) lors de la commémoration de la fête d’indépendance du Togo à Accra sous l’initiative du mouvement Ghana-Togo Solidarity.
Foussena Djagba n’a pas l’habitude de communiquer ses actions voilà pourquoi c’est suite aux enquêtes minutieuses qu’on est arrivé à savoir qu’elle apporte de l’assistance financière aux victimes de la barbarie des hommes du dictateur "simplisto-sanguinaire".
Des aides financières aux détenus depuis cette crise font parti de ses actes de générosité et d’engagement. Pour ceux qui l’ignorent c’est elle qui avaient apporté des vivres et des non vivres aux togolais réfugiés à Chereponi au Nord du Ghana. Des gestes qu’un dessin animé de la diaspora s’était approprié rapidement sur Facemouton. Que chacun fasse preuve de bonne volonté au sein de la diaspora. Foussena djagba et d’autres l’ont très tôt compris. Certains togolais de la diaspora doivent faire face aux actes concrèts pour ne pas porter les casques d’illusions au peuple*.
La force de la diaspora ne doit pas être la bouche. Car tout le monde a déjà la bouche. Il faut apporter autre chose à part la bouche"".
C’est bien là l’extrait d’un billet d’hommage et de remerciement adressé la semaine dernière à cette dame, par un compatriote togolais au pseudonyme de Piabalo Kamingh.
Fidèle à sa ligne qui est celle d’user de toutes les voies de recours pour faire plier Faure Gnassingbé et son régime, Fousséna Djagba se tourne cette fois-ci vers la génitrice du président togolais.... suite de l'article sur Le Télégramme du Togo
