Cherche-t-on à régler des compter aux Togolais de la diaspora au Ghana qui ont manifesté le 28 octobre 2017 contre le régime togolais ? Cette question mérite toute son importance quand on sait que depuis que cette manifestation a eu lieu au Ghana le 28 octobre 2017 et que la police ghanéenne malgré que les dispositions et mesures administratives aient été respectées à la lettre, 26 manifestants dont Foussena DJAGBA ont été arrêtés.
Certains ont été gardés au commissariat de NIMA et d’autres celui de KOTOBABI. Après quelques jours de détention, ces personnes arrêtées ont toutes comparu devant la justice ghanéenne et ont obtenu une libération sous caution le 1er novembre 2017.
Commence alors une série de comparution qui ne dit pas son nom jusqu’à ce jour où nous alertons l’opinion publique sur ce qui se prépare contre ces compatriotes au Ghana.
En effet, la toute première comparution après leur relaxe remonte au 31 octobre 2017. Jusqu’aujourd’hui, ces compatriotes se sont présentés devant la justice ghanéenne à chaque fois que celle-ci procède à un report sur une autre date.
Et cela fait en tout et pour tout sept (7) fois qu’ils étaient présents et que le verdict a été ajourné alors que dans le lot, nombreux sont ces compatriotes qui parcourent des distances pour se présenter devant la justice.
Rien que des reports dont les arguments avancés par la justice sont aussi fallacieux que farfelus reposant, dans certains cas sur l’absence du juge en charge du dossier et dans d’autres sur aucune raison. Des fois mêmes, ceux-ci ne font pas leur entrée dans la salle d’audience avant qu’on ne leur fasse entendre que le procès est ajourné.... suite de l'article sur Autre presse