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’En cinq ans, aucun problème n’a été résolu au Mali’ (Soumaila Cissé)
Publié le lundi 14 mai 2018  |  DW Afrique




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Le chef de file de l'opposition malienne espère réunir toute l'opposition au second tour.

Ce n'est pas une surprise au Mali : Soumaila Cissé est candidat à la présidentielle du 29 juillet prochain.

Le chef de file de l'opposition malienne a officialisé sa candidature ce week-end devant ses partisans réunis au Stade du 26 mars, le plus grand stade de la capitale Bamako.

L'opposant, très critique vis à vis du bilan du président IBK, et qui a fédéré autour de sa candidature un certain nombre de partis politiques et d'associations, est membre de la Coalition pour l'Alternance et le Changement qui envisage de faire bloc derrière le candidat le mieux placé à l'issu du premier tour.

Selon le président de l'Union pour la République et la Démocratie (URD), c'est la situation de son pays qui exige de lui cet engagement. Cliquez sur la photo ci-dessus pour entendre l'interview qu'il a accordée à notre correspondant à Bamako.



Soumaïla Cissé : La situation du pays exige un engagement fort, et je crois que c'est cet engagement fort que j'ai obtenu par l'affluence au niveau du Stade du 26 mars. Ce sont des moments très forts, des moments encourageants. Et je crois que cela nous pousse au combat, nous engage à aller plus loin encore. Le pays le mérite et la situation du pays l'exige.



DW: Vous êtes très critique sur le bilan du président Ibrahim Boubacar Keïta, qu'est ce que vous proposez de faire autrement ?

Soumaïla Cissé : Je crois d'abord que nous ne pouvons pas rester dans l'immobilisme que nous avons connu depuis cinq ans, où aucun problème essentiel n'a été abordé nirésolu. Ce que nous proposons, c'est de refonder ça. D'abord par un engagement politique réel pour la paix en acceptant des discussions franches, en donnant un point de vue réel, celui auquel on croit et en défendant le pays à partir d'un accord qui a été déjà signé. La deuxième chose est qu'il faut pousser à un dialogue réel avec toutes les forces vives de ce pays pour qu'on puisse sortir de la crise. Nous allons proposer un programme qui est déjà fait, qui s'appuie sur cinq grands piliers et à partir duquel nous pensons que nous allons pousser le pays vers l'avant et sortir de la situation difficile que nous connaissons depuis cinq ans.
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