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Conseil de l’Entente à Lomé/L’audit institutionnel et organisationnel et le Plan stratégique 2018-2022 soumis au Comité des Experts
Publié le mardi 15 mai 2018  |  Telegramme 228


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Jacques Tchakou
3ème réunion ordinaire des ministres en charge de la Sécurité et des Frontières du Conseil de l’Entente, consacrée à l’examen du projet "Mécanisme Entente de Renseignements"
Lomé, le 20 avril 2018. Hôtel Sarakawa. 3ème réunion ordinaire des ministres en charge de la Sécurité et des Frontières du Conseil de l’Entente, consacrée à l’examen du projet "Mécanisme Entente de Renseignements". Cette réunion présidée par le Général de Brigade Damehame YARK, Ministre de la Sécurité et de la Protection Civile, a permis de resserrer les liens de coopération entre services de renseignements des cinq Etats membres de ce regroupement. Elle constitue ainsi un jalon supplémentaire dans l’élaboration du "Mécanisme Entente de Renseignements" lancé le 17 juillet 2013 à Niamey par le Secrétariat Exécutif de cette communauté, traduisant ainsi dans les faits la vision des Chefs d’Etat de ce regroupement. Cette réunion a été précédée par les travaux du Comité des experts qui s’est réuni depuis le mardi 17 avril. Dr Patrice Kouamé, Secrétaire Exécutif du Conseil de l’Entente.


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Après les experts en sécurité et les ministres en charge de la Sécurité, il y a quelques semaines, c’est au tour de leurs collègues des Affaires étrangères, de la Coopération et de l’Intégration africaine du Conseil de l’Entente, de se donner rendez-vous à Lomé. Cette fois, non pas pour parler de sécurité mais plutôt de la diplomatie. Ainsi, durant les travaux du Comité des Experts, ouverts ce Lundi à Lomé, ils auront d’après la présidente, Abra Afetse-Tay, à "examiner et adopter les résultats et recommandations de l’audit institutionnel et organisationnel et le nouveau plan stratégique 2018-2022 du Conseil de l’Entente" et enfin, "le mécanisme entente de renseignements". Ce sont là, d’après elle, "des outils indispensables pour non seulement son rayonnement et sa pérennité, mais aussi pour l’accroissement de sa rentabilité".

Et pour partager la pertinence de ces documents qui sont soumis à leurs études, Mme Afetse-Tay, a fait comprendre que "l’audit institutionnel et organisationnel a entre autres pour objectifs l’amélioration du cadre institutionnel et organisationnel existant y compris le mode de fonctionnement et met en exergue les questions financières". Ceci, pendant que le plan stratégique vient "définir les grandes orientations des quatre axes stratégiques retenus pour permettre à l’organisation d’atteindre ses objectifs". Et pour ce faire, "le nouveau plan, d’après elle, prend en compte les questions liées au genre, à la jeunesse, à la migration ainsi que son évaluation financière".

Pour sa part, le Secrétaire exécutif adjoint du Conseil de l’Entente, Mohamadou Abdoulaye, a relevé le fait que cette 3ème réunion extraordinaire revêt d’une importance stratégique pour l’avenir de l’organisation commune". Il reste dès lors convaincu qu’ "après la phase de fondation, il s’agira de se projeter dans l’avenir en dotant l’institution des outils et instruments aptes à consolider les acquis dans le domaine de la gouvernance administrative et financière, à mobiliser les financements, à mieux gérer les partenariats pour répondre aux attentes des laborieuses populations de l’Espace Entente".

Il salué au passage les efforts consentis pour que le Conseil de l’Entente retrouve sa place dans le paysage institutionnel sous-régional et diversifie ses partenariats hors d’Afrique. Une crédibilité retrouvée qui, à son avis, a permis de bénéficier d’une subvention de plus de 5 milliards de Fcfa de la part de la BAD (Banque Africaine de Développement) pour financer les réformes du CERFER (Centre Régional de Formation à l’entretien routier).
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