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Crise politique et Dialogue intertogolais Les regrets et exhortations du CACIT !

Publié le mercredi 6 juin 2018  |  Le Télégramme du Togo
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© aLome.com par Parfait
Publication d`un Rapport du CACIT et de la PCJV
Lomé, le 15 juillet 2015. EDA OBA HOTEL. Publication du Rapport de la Mission d’observation du CACIT (Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo) et de la Plateforme Citoyenne Justice et Vérité (PCJV). Ce rapport porte sur les violences et violations des droits de l’Homme au cours de la présidentielle du 25 avril 2015 au Togo.
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Par la plume de son Directeur exécutif, Ghislain Koffi Nyaku, le CACIT a fait connaitre sa position sur la crise actuelle au Togo. C’est une position teintée à la fois de regret et d’exhortations à l’endroit des acteurs de la crise politique actuelle.
Si dans un premier temps et suite à plusieurs constatations d’occasions manquées, le CACIT dit comprendre « la volonté de l’opposition à manifester, en vue de pousser la majorité à aller aux réformes constitutionnelles, institutionnelles et électorales », ce collectif « toutefois, s’interroge sur la nécessité de manifester pendant que la reprise du dialogue est annoncée ». Dans le même temps, le Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo « constate également l’incompréhension persistante entre le gouvernement et la coalition des 14 partis politiques de l’opposition au sujet des itinéraires des manifestations prévues mercredi 6, jeudi 7 et samedi 9 juin 2018 ».

Justement parlant de ces manifestations sensés débuter ce mercredi et dont les parties se tiraillent sur les itinéraires, le CACIT croit savoir qu’ « en effet, quelques jours après la modification proposée par le gouvernement aux organisateurs, ces derniers confirment leur appel à manifester pacifiquement sur toute l’étendue du territoire national, suivant les itinéraires qu’ils avaient initialement définis », il revenait au gouvernement de « prendre une décision maintenant sa position » et « se servir d’une décision administrative susceptible d’être attaquée par les organisateurs devant les juridictions administratives qui sont garantes des libertés, comme le stipule l’article 99 de la Constitution, la Cour Constitutionnelle ‘‘est juge de la constitutionnalité de la loi et elle garantit les droits fondamentaux de la personne humaine et les libertés publiques’’ ».
... suite de l'article sur Le Télégramme du Togo

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