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Vaines tentatives de diffamation de la Présidence de l’Université de Lomé

Publié le jeudi 26 juillet 2018  |  Media Top News
Makhtar
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Makhtar Diop, Vice-président de la Banque mondiale pour l`Afrique, pose la 1ère pierre pour la construction du bâtiment et des laboratoires spécialisés du CERSA
Lomé, le 06 avril 2017. Université de Lomé, CERSA (Centre régional d`excellence sur les sciences aviaires). Makhtar Diop, Vice-président de la Banque mondiale pour l`Afrique, conclut une visite de travail de 24h au Togo en touchant du doigt le fonctionnement quotidien du CERSA. L`ouverture de ce Centre a été financé par la Banque mondiale dans le cadre du "Projet des centres d`excellence africains qui soutient l`enseignement des sciences et technologies dans les Universités en Afrique occidentale et centrale via 22 sous-projets. Au CERSA, Makhtar Diop a aussi procédé à la pose de la 1ère pierre pour la construction du bâtiment et des laboratoires spécialisés de ce Centre régional, en compagnie du ministre Broohm (de l`Enseignement supérieur du Togo), de Jacob Kokou Tona (Directeur du CERSA) et du Président de l`UL, Pr Kokoroko.
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Une fausse et grotesque affaire dont l’Université de Lomé, concentrée sur ses challenges transformatifs, se serait bien passée. Une affaire à l’origine banale qui aurait à peine mérité quelques lignes dans un magazine de faits divers. Dit-on, de façon mensongère et caricaturale, le président de l’UL se serait rendu complice du Professeur Kossivi Hounaké, directeur adjoint des affaires académiques et de la scolarité (DAAS), accusé d'avoir délibérément refusé de transmettre à un collègue du département de droit public le dossier envoyé par le CAMES pour son évaluation.


Et pourtant, d’autres facultés étaient concernées sans être en spectacle hideux et le dramatisation ne devait pas être au rendez-vous dès lors que les dossiers électroniques ont été envoyés à tous les instructeurs. Cela n’excuse pas les dysfonctionnements mais le délit d’amitié ou de proximité n’est qu’une pure haine d’un doyen peu à la hauteur des fonctions décanales, englué entre petite politique et enseignements dans les universités privées nationales et extérieures. In fine, l’acte d’accusation cache mal une volonté manifeste de nuire à l’image de l’Université de Lomé et de saper les efforts entrepris pour la modernisation du campus de Lomé.

L’université de Lomé pointe alors en réactions "une utilisation mensongère et diffamatoire sur la ventilation des dossiers CAMES 2018’’ par certains experts de l’Université de Lomé qui croient devoir sucrer sur la présidence.


Beaucoup de manipulations devant un dysfonctionnement administratif qui se transforme ainsi en règlement de compte… Les échanges musclés sur le faux ou vrai intellectuel, la rétroactivité de la loi constitutionnelle, le retour à la Constitution de 1992, la distinction droit privé et droit public, le droit de grève dans l’enseignement supérieur, etc refont surface et révèlent une haine viscérale entre enseignants-chercheurs de la Faculté de Droit de Lomé dont certaines autorités ministérielles tirent les ficelles sur fond de jalousie et d’envie.

Que peut-on retenir de ce coup CAMES monté par certains enseignants-chercheurs qui baignent dans la diffamation et la haine… Une course de haies franchies, l’une après l’autre au point de porter aujourd’hui l’Université de Lomé parmi les meilleures en Afrique… Rien ne serait plus comme avant dans cette Université où le président de l’UL, nommé en 2016, était donné pour perdant devant les défis…

La tâche était en effet énorme devant une université qui ne se réformait pas » ou encore « en proie à la déferlante des manifestations estudiantines ou des enseignants-chercheurs grincheux ! ». Certes, c’est sans compter avec la détermination d’un Président engagé, lui-même un produit de l’Université de Lomé.
Ambitieux et pragmatique, il conçoit sa mission comme un sacerdoce. Il use, à la différence de beaucoup de ses collègues, d’un ton direct sans se perdre dans des circonlocutions avec un talent du verbe jamais démenti. Admiré par ses collègues qui aiment encore l’Université, adulé par ses étudiants qui ne sont pas loin de lui « vouer un culte » tant il semble leur transmettre sa rigueur et sa passion voire son amour pour le droit, le président est aujourd’hui à la hauteur des attentes, quoique le chemin reste long et encore parsemé d’embuches.

Toujours serein et sûr de lui, il avance dans les réformes audacieuses. Et les résultats sont là pour éviter un inventaire à la Prévert. Lesdits résultats visibles et palpables forcent l’admiration en même temps qu’ils aiguisent un appétit sans fin et « surdimensionné » de ceux qui les pensaient irréalisables. Victime de son succès, le président de l’UL n’aura pas que d’admirateurs mais aussi des aigris qui croient devoir tout remettre en cause même les changements les plus souhaités. Ils tiennent certainement et maladroitement à leurs statuts et privilèges sans se soucier de la qualité de l’enseignement encore moins de l’intérêt supérieur des étudiants. Devant la rupture à l’UL, l’éloge du changement semble venir de l’étranger.


Il va sans dire avec évidence que nul n’est prophète dans son pays. Interpellé ainsi lors de sa mission d’encadrement à l’UL, un professeur de l’Université de Yaoundé 2, dans le cadre de la session régionale de préparation au concours d’agrégation CAMES 2017, a déclaré au sujet des changements qu’:« ils sont louables et dénotent de la volonté des autorités togolaises de placer l’enseignement supérieur au cœur des priorités ». L’UL n’a donc pas vraiment démérité car il n’y a point de salut à celui qui ne sait où il va… Que le cap soit alors maintenu au profit des générations futures, même devant la haine, la jalousie et l’envie qui sont consubstantielles à la république des universitaires.




La rédaction

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