Série de 3 Sommets africains à Lomé ces 30 et 31 juillet 2018 : Programme et menus principaux

Publié le lundi 30 juillet 2018 | aLome.com

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Arrivée du Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, à Lomé (Togo)
Lomé, le dimanche 29 Juillet 2018. Aéroport de Lomé. S.E.M. Alassane OUATTARA est arrivé à Lomé, pour le Sommet conjoint CEDEAO-CEEAC et les Sommets de l`UEMOA et de la CEDEAO.

Lomé abrite depuis ce 30 juillet une série de 3 Sommets à la fois communautaires et intra-communautaires à «Address Hôtel 02 Février». A savoir le 1er Sommet conjoint CEDEAO-CEEAC (26 pays participants) sur les défis sécuritaires communs, le Sommet de l’UEMOA et ensuite le Sommet ordinaire de la CEDEAO (15 Etats représentés) le 31 juillet 2018.

Selon une confidence des organisateurs, le programme pré-établi devrait se décliner de la manière suivante. Dans la journée du 30 juillet 2018, les délégations de la CEDEAO et de la CEEAC vont débuter leurs travaux conjoints à partir de 11HTU. Des travaux qui vont se poursuivre essentiellement via un huis-clos présidentiel après la traditionnelle cérémonie d’ouverture. Une déclaration finale sur les défis communs sécuritaires devrait être rendue publique au terme de ce «Sommet présenté comme inédit par les officiels togolais».

La seconde grand-messe présidentielle d’une taille plus réduite sera celle de l’UEMOA (08 Etats ouest-africains). Elle débutera sous le coup de 15HTU, et sera vouée essentiellement à des questions économiques zonales.

Le Sommet statutaire de la CEDEAO aura lieu pour sa part dans la journée du 31 juillet. Cette rencontre présidentielle devrait produire une décision de cette organisation régionale vis-à-vis de la crise socio-politique togolaise qui a repris de l’ampleur en août 2017.
L’artiste Victoire Biaku, la chorale de l’Université de Lomé ainsi que le groupe musical des FAT (Forces armées togolaises) sont annoncés comme les principales attractions des intermèdes qui vont meubler ces 3 Sommets.

Le Togo a repris la dynamique d’organisation de grandes rencontres internationales en 2016 via le «Sommet panafricain sur la sécurité et la sûreté maritimes», après 16 ans de "disette" en la matière due essentiellement aux troubles socio-politiques que connaît de façon cyclique cet Etat qui dispose du seul port en eau profonde d’Afrique de l’ouest.

Edem GADEGBEKU

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