Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Diplomatie
Article
Diplomatie

Ghana : Nana Akufo-Addo affirme de nouveau son intention de tourner dos au FMI

Publié le mardi 14 aout 2018  |  Financial Afrik
Ouverture
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchakou
Ouverture du 1er Sommet conjoint CEDEAO-CEEAC sur les défis sécuritaires communs
Lomé, le 30 juillet 2018. Grande tente de l`«Address Hôtel 02 Février». L`ouverture du 1er Sommet conjoint CEDEAO-CEEAC sur les défis sécuritaires communs a été meublée par de vibrants plaidoyers des Présidents Faure Gnassingbé et Ali Bongo Ondimba appelant à la mutualisation des moyens financiers, techniques et des ressources humaines. Nana Akufo-Addo du Ghana (d)
Comment



Le président Ghanéen, Nana Akufo-Addo, a déclaré dimanche 12 août que son gouvernement « travaille assidument » pour construire une économie forte et résiliente, afin d’éviter une reconduction de la facilité élargie de crédit du Fonds monétaire international (FMI).

Le chef de l’Etat s’adressait à Kumasi (ville située à 255 km au nord-ouest d’Accra) à l’occasion d’une messe d’action de grâce organisée dans le cadre d’une tournée qu’il effectue dans la région d’Ashanti. Pour lui, ce programme hérité de l’administration précédente ne devra plus être reconduit une fois à terme cette année.

En effet, le pays avait formulé, en mars 2015, une demande de soutien du FMI destiné à soutenir son programme de réforme économique à moyen terme. D’une durée de trois ans, ce programme avait été prolongé d’un an par l’institution qui en avait fait l’annonce le 31 août 2017, quelques semaines après les premières déclarations du nouveau président « hostile » au mécanisme.

D’un montant d’environ 918 millions de dollars, il vise notamment à réduire le déficit public, et à rétablir la durabilité de la dette et la stabilité macroéconomique.

Le président Akufo-Addo avait déjà affirmé, publiquement plus d’une fois, son intention de tourner dos à cette aide et « passer à autre chose ».

«Nous sommes déterminés à mettre en place des mesures pour assurer l’irréversibilité et maintenir la stabilité macroéconomique, afin que nous n’ayons aucune raison de demander à nouveau l’assistance de cette puissante organisation mondiale », avait-il déclaré en février dernier devant les députés du pays.

... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires