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Togo: l’opposition réclame un recensement biométrique

Publié le jeudi 16 aout 2018  |  Africa RDV
La
© aLome.com par Lakente Bankhead
La CENI annonce les grands traits de sa prẻparation du scrutin prẻsidentiel de 2015
Lomẻ, vendredi 19 décembre 2014. Les premiers responsables de la Commission Electorale Nationale Indépendante étaient face à la presse togolaise afin de la situer sur son budget de fonctionnement en vue de la présidentielle de 2015.
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L’opposition togolaise regroupée au sein de la Coalition des 14 (C14) réclame un recensement biométrique intégral pour un fichier électoral fiable. C’est l’une des exigences formulées outre l’exigence de la formule “en aucun cas” dans la Constitution, le retour de Tikpi Atchadam, leader du Parti national panafricain (PNP) et la réforme de fond de la Cour constitutionnelle.

Devant la presse à Lomé, le 16 Août 2018, les leaders de la C14 ont posé une série de recommandations et exigences, condition sine qua non pour leur participation à l’organisation des prochaines joutes électorales annoncées pour le 20 décembre 2018.

Dans son mémorandum, la Coalition demande que le recensement soit couplé d’une audience foraine pour doter les citoyens de carte nationale d’identité pouvant servir de base pour l’établissement des cartes d’électeurs.

A en croire Dodji Apevon, président des Forces démocratiques de la République (FDR) membre de la Coalition, l’établissement des cartes d’identité va éviter la fraude car soutient-il, “des traditionnels emmènent des mineurs s’inscrire sur la liste électorale.

«Des Institutions avaient proposé de financer l’établissement des cartes d’identité mais le gouvernement a refusé parce-que sans les cartes, le gouvernement manipule le fichier électoral », a-t-il laissé entendre.

La Coalition réclame l’annulation du contrat de Zetes, cette société technologique paneuropéenne sélectionnée pour le recensement électoral. Aussi, l’annulation de toutes actions menées à ce jour, par la Commission électorale nationale indépendante (CENI).

Aussi, les responsables de la C14 proposent comme réforme de la Cour constitutionnelle, une composition de 7 membres dont 6 élus au Parlement dont 3 pour la mouvance et 3 pour l’opposition, et le 7ème, comme d’habitude. Les membres, selon la Coalition, n’auront qu’un mandat de 7 ans, non renouvelable.
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