Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

La réalisation des réformes se fera avant le 22 décembre 2018, promet le ministre Gilbert Bawara

Publié le mercredi 12 septembre 2018  |  AfreePress
Séminaire
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Séminaire gouvernemental à l’intention des directeurs généraux , secrétaires généraux, experts, hauts fonctionnaires de l’Etat, de la Société civile et du secteur privé
Lomé, du 17 au 18 mai 2017. Hôtel Sancta Maria. Séminaire gouvernemental à l’intention des directeurs généraux , secrétaires généraux, experts, hauts fonctionnaires de l’Etat, de la Société civile et du secteur privé. Ils ont été réunis autour du thème «Transformer la gouvernance et l’Administration publique au Togo pour la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable». C’est le ministre de la Fonction Publique, du Travail et de la Réforme Administrative, Gilbert BAWARA qui a, au nom du Premier Ministre, lancé les travaux dudit séminaire en présence de Khardiata LO N’DIAYE, Représentante Résidente du PNUD et coordonnatrice Résidente du système des Nations Unies, et du Secrétaire général du gouvernement, Florent MANGANAWE. Les participants ont suivi des communications d`experts venus des Etats-Unis, d’Afrique, communications suivies de débats. G. Bawara.
Comment


« Lorsqu’il s’agit de dialogue, le gouvernement et sa majorité ont toujours cherché et voulu établir des contacts directs. Malheureusement la coalition voulait que le dialogue et les pourparlers soient placés exclusivement sous la tutelle des facilitateurs et nous avons accédé à cela et ça nous a conduit vers la CEDEAO et aujourd’hui il y a des décisions et des recommandations qui doivent être mises en œuvre. Malheureusement on constate que les mêmes comportements se poursuivent puisqu’au moment où le gouvernement et sa majorité cherchent à avoir des concertations avec l’opposition pour que le processus de mise en œuvre puisse se faire de façon concertée, c’est le même langage qu’on nous tient en nous disant que tant qu’on n’est pas invité par la CEDEAO ou le comité de suivi, on ne répond pas. Je crois qu’on doit développer davantage un esprit d’ouverture. Il faut que nous apprenions à travailler ensemble dans le cadre des institutions de la République. Mais également de manière informelle, il faut que nous puissions échanger et que chacun apporte son talent et ses idées pour l’avancement de notre pays ». ... suite de l'article sur AfreePress

Commentaires